Aujourd’hui c’est la journée mondiale du tourisme. Une industrie qui doit se réinventer en prenant en compte les risques sanitaires et ceux liés au réchauffement climatique. Il me semble également important que les attentes des populations locales soient mieux prises en compte. #tourisme#tourismedurable
http://www.cyberstrat.net/wp-content/uploads/2013/04/Cyberstrat_logo_horizontal_340x160px1.jpg00Jean-Claude Morandhttp://www.cyberstrat.net/wp-content/uploads/2013/04/Cyberstrat_logo_horizontal_340x160px1.jpgJean-Claude Morand2021-09-27 09:29:432021-09-27 09:51:01Journée mondiale du tourisme - 2021
Philippe CLARET, rédacteur en chef de l’Eco Savoie Mont-Blanc, nous fait l’honneur de dédier son édito de cette semaine (27/08/21) : « L’économie de nos territoires alpins peut-elle bénéficier du télétravail ? ». Il reprend notre thèse selon laquelle les frontières entre les lieux de travail, de loisir, de résidence et de vacances pourraient dans certains cas disparaitre. Merci à lui !
http://www.cyberstrat.net/wp-content/uploads/2013/04/Cyberstrat_logo_horizontal_340x160px1.jpg00Jean-Claude Morandhttp://www.cyberstrat.net/wp-content/uploads/2013/04/Cyberstrat_logo_horizontal_340x160px1.jpgJean-Claude Morand2021-08-30 13:15:422021-08-30 13:25:10Travail ou vacances, faut-il choisir ?
La génération Y sera-t-elle adepte de Workacion – (c) Besson Immobilier – Verbier
Avec le soutien de Claudia BENASSI-FALTYS, Lucilia CARDOSO et René NANTUA, j’ai publié en Mai dernier un livre blanc « L’économie de nos territoires alpins peut-elle bénéficier du télétravail ? Quels en seraient les apports pour la création d’un tourisme plus raisonné et les virages numériques nécessaires. » Ce livre blanc défend la thèse qui consiste à affirmer que le télétravail peut être bénéfique pour les territoires alpins. Cette thèse implique un changement de paradigme concernant les lieux de vie et lieux de travail tel que nous les avons connus jusqu’à ce jour.
Nous avons défini la notion de WORKCATION et de workcationistes ; une nouvelle clientèle polyforme qui pourrait être une solution pour réduire l’exode des habitants permanents dans les stations et surtout présenter de nouvelles formes de contribution à l’économie des massifs montagneux exposés aux risques climatiques. Après avoir présenté quelques expériences conduites en différents points du Globe, nous proposons aux responsables de la stratégie et du marketing des entités touristiques de segmenter la population en 6 catégories en observant que 3 sont liées au développement du télétravail :
Les résidences principales
Des personnes travaillant dans la station
Des personnes travaillant dans les villes et villages voisins permettant un AR chaque jour (X<~40 km)
Les workcationistes, une forme nomades numériques (ou Digital nomads) qui choisissent d’allier vacances et travail.
Les télétravailleurs (remote workers) pouvant considérer de choisir les stations comme résidence principale.
Les touristes dont la durée moyenne de séjour est au niveau national inférieur à 5 jours,
Les résidents secondaires dont la présence pourrait devenir plus fréquente avec les possibilités de télétravail.
http://www.cyberstrat.net/wp-content/uploads/2013/04/Cyberstrat_logo_horizontal_340x160px1.jpg00Jean-Claude Morandhttp://www.cyberstrat.net/wp-content/uploads/2013/04/Cyberstrat_logo_horizontal_340x160px1.jpgJean-Claude Morand2021-08-14 10:49:212021-08-14 11:23:38L’économie de nos territoires alpins peut-elle bénéficier du télétravail ? /
Le Tourisme restant un centre d’intérêt pour moi, j’emprunte un texte de l’Organisation Mondiale du Tourisme pour mes vœux 2021 tant la situation est difficile pour cette industrie. Pour 2021, « il est maintenant temps de repenser les règles de quarantaine pour les touristes. Adopter l’innovation et de nouvelles solutions pour tester les voyageurs avant ou après leur voyage. Parallèlement à cela, les restrictions aux déplacements doivent être assouplies ou levées de manière responsable et coordonnée dès qu’elles sont sûres et réalisables. »Ce vœu vient s’ajouter à ceux plus traditionnels, mais quoi qu’il en soit, je souhaite plus que tout que 2021 soit une année de rebond.
http://www.cyberstrat.net/wp-content/uploads/2013/04/Cyberstrat_logo_horizontal_340x160px1.jpg00Jean-Claude Morandhttp://www.cyberstrat.net/wp-content/uploads/2013/04/Cyberstrat_logo_horizontal_340x160px1.jpgJean-Claude Morand2021-01-04 15:31:472021-01-04 15:35:01Pour que 2021 soit l'année du rebond
Si j’avais été le seul auteur, j’aurais intitulé ce livre « 33 ans après ! », car je suis tombé dans la marmite de l’Internet en 1987. J’ai eu la chance d’être payé par deux grandes entreprises multinationales pour anticiper les tendances et les évolutions des systèmes d’information. Ainsi, une de mes premières interactions avec le Net date de juillet 1987[1] alors que j’essayais de comprendre comment les systèmes experts pourraient aider à définir les prix des produits (ce que nous avons fait). Le Web tel qu’on le connait aujourd’hui naîtra trois ans plus tard au CERN. Depuis, les idées de Tim Berners-Lee et du W3C restent une source d’inspiration en particulier en ce qui concerne le Web sémantique. Mais il faut bien reconnaître que ce n’est que fin 2004 qu’à l’occasion d’une conférence d’O’Really le WEB 2.0 fût lancé grâce aussi à quelques évolutions technologiques (Ajax, RSS, SOAP, WDSL…).
Bref, nous venons de passer 15 années durant lesquelles notre façon de
travailler, de vendre, de communiquer a radicalement changé. Les technologies
(mobile et tablette, 3G ou 4G, médias sociaux, big data, intelligence
artificielle, etc.) ont bouleversé nos sphères de vie et notre rapport aux individus,
à l’information, aux objets…
Avec grand plaisir j’ai accepté l’invitation de Fadhila
Brahimi et David Fayon de rejoindre 56 autres pionniers afin d’explorer rétrospectivement les
conséquences du digital sur notre société (économie, politique, juridique, culturel…). Ma contribution est limitée à l’évolution des systèmes d’information
touristiques et à anticiper les changements à venir au sein de l’industrie touristique.
Les technologies (mobile et tablette, 3G ou 4G, médias sociaux, big data,
intelligence artificielle, Réseau de neurones…) ont bouleversé nos sphères de
vie et notre rapport aux individus, à l’information, aux objets…
Nous avons donc publié le 4 mars 2020, « Web
2.0, 15 ans déjà et après ? ». Le but : imaginer 7 pistes de
réenchantement pour un futur numérique plus sain et plus responsable face à la
domination des géants d’Internet, tant américains GAFA (Google Apple Facebook
Amazon) que chinois BATX (Baidu Alibaba Tencent Xiaomi).
Il ne vous reste donc qu’à cliquer sur « Web
2.0, 15 ans déjà et après ? »pour acquérir sans tarder cet
ouvrage. L’intégralité des droits d’auteur sera versée à EMMAUS Connect et Startup
for kids.
Selon Claudie HAIGNERE[2] qui préface cet ouvrage :
« Les enjeux sont majeurs sur tous les plans évoqués dans ce livre à
plusieurs voix : enjeux géostratégiques, enjeux économiques, enjeux juridiques,
enjeux culturels, enjeux éducatifs, enjeux sociétaux au travail. C’est le monde
de demain qui se dessine. Et il est utile que notre génération accompagne les
intelligences de demain en proposant ce type de rapport d’étonnement : nouveaux
paysages juridiques, nouvelles répartitions entre le soft et le hard power,
nouveaux marchés à conquérir, nouvelles menaces pour notre environnement, etc.
Il est utile que nous puissions faire jouer notre pouvoir d’agir pour faciliter
les transitions, entrer dans des conversations constructives, favoriser les
nouvelles compétences, accueillir lucidement le changement. Ce récit collectif
piloté subtilement par Fadhila
Brahimi et David Fayon,
nous apporte ces regards fiers et lucides des pionniers, à distance et en
recul, pour explorer demain avec intelligence et volonté optimiste ».
[2] Astronaute à l’European Spacial Agency et
pionnière de l’espace en Europe.
http://www.cyberstrat.net/wp-content/uploads/2013/04/Cyberstrat_logo_horizontal_340x160px1.jpg00Jean-Claude Morandhttp://www.cyberstrat.net/wp-content/uploads/2013/04/Cyberstrat_logo_horizontal_340x160px1.jpgJean-Claude Morand2020-03-05 11:32:482020-03-07 11:02:0115 ans du Web 2.0 ça méritait bien un livre !
http://www.cyberstrat.net/wp-content/uploads/2013/04/Cyberstrat_logo_horizontal_340x160px1.jpg00Jean-Claude Morandhttp://www.cyberstrat.net/wp-content/uploads/2013/04/Cyberstrat_logo_horizontal_340x160px1.jpgJean-Claude Morand2019-09-17 09:38:242019-11-13 08:51:09Et si l’interactivité de votre site web augmentait la volonté des internautes de vous fréquenter ?
J’utilise de plus en plus souvent l’assistant Google sur mon smartphone et j’ai un projet concret de son utilisation pour gérer la domotique de mon appartement grâce à ces interfaces standardisés avec les équipements dont je dispose. Je découvre aujourd’hui que ses équipes ont franchi une nouvelle étape en permettant d’effectuer des réservations hôtelières uniquement à la voix y compris le paiement. Waow ! Je suis impressionné de la vitesse à laquelle se développent les services fournit par ces #bots. En visionnant ces 3 minutes de vidéo, vous entrez dans le présent des réservations hôtelières simple. Enjoy !
http://www.cyberstrat.net/wp-content/uploads/2013/04/Cyberstrat_logo_horizontal_340x160px1.jpg00Jean-Claude Morandhttp://www.cyberstrat.net/wp-content/uploads/2013/04/Cyberstrat_logo_horizontal_340x160px1.jpgJean-Claude Morand2019-03-08 12:14:412019-11-13 08:47:17GOOGLE met la pression sur les agences en ligne !
A l’occasion du 26e congrès de l’Internatinal
Federation for IT in Travel & Tourism les résultats d’une recherche ont été présentés par
deux chercheurs[1] de
Bulgarie et des Etats-Unis qui se proposait de répondre à la question « Que doivent faire les robots ? Une
analyse comparative des professionnels, des enseignants et des touristes »[2].
Mon propos n’est pas ici de reprendre les résultats fournis par les chercheurs
que vous pouvez découvrir sur leur publication, mais d’apporter un éclairage
complémentaire à cette recherche. Car c’est l’une des rares à porter sur un
échantillon de 1009 personnes invitées à répondre à un questionnaire en ligne. Bien
qu’ils s’agissent majoritairement d’enseignants, de chercheurs et d’étudiants
familiarisés avec la robotique, les résultats permettent aux nombreuses
entreprises qui se lancent sur ce marché d’affiner leurs offres afin de séduire
plus de clients et surtout de se concentrer sur la valeur ajoutée que les
touristes attendent. Les réponses enregistrées proviennent de plus d’une
dizaine de pays (14 réponses pour la France représentant
1.4% de l’échantillon) et, en grande
majorité de personnes ayant un niveau d’éducation élevé (80.9 % ont un Bachelor ou plus).
Peut-on analyser de la même manière les
robots physiques et les bots ?
La publication ne fait pas de distinction entre les robots
« physiques » et les robots « virtuels ». Les premiers
interviennent comme assistants pour lever, transporter, déplacer ou aider aux
déplacements des humains. Les seconds permettent un accès aux connaissances
sans pour autant qu’ils aient une apparence physique. Ces derniers sont appelés
« bots » en utilisant une
terminologie anglophone, en français on retrouve la terminologie d’agents conversationnels interactifs.
Pour adapter un concept de Nicholas NEGROPONTE[3], je dirais que les robots physiques sont
principalement destinés à traiter les atomes quand les robots virtuels sont
adaptés à traiter les bits, c’est-à-dire tout ce qui peut être numériser dont
les différentes formes d’accès aux connaissances.
A long terme, on pourrait admettre la thèse qui consisterait à ne faire
aucune différence dans la mesure ou les robots physiques peuvent être dotés d’interfaces
très variées avec les connaissances. Le type d’interactions que l’on peut avoir
avec un smartphone ou une enceinte du type Alexa, Google assistant et bien
d’autres mais aussi avec les robots produits par Softbank Robotics tels que Pepper ou Nao. A ce stade du développement de la technologie, il me semble toutefois préférable
de scinder les deux approches pour deux raisons majeures:
L’acceptation
des robots physiques varie énormément en fonction du service fourni. L’étude des
deux chercheurs démontre ainsi que les membres du panel sont plus enclins à
accepter de monter dans une voiture autonome (m=4.61/7)
que dans un avion sans pilote (m=3.64/7), quant à confier son
bébé à une babysitter robotisée, la moyenne s’écroule (m=2.39/7). Toutefois, les
membres du panel seraient ravis qu’un robot puisse ramasser leurs ordures (m=5.86). En revanche, tous les
services donnant un accès aux connaissances recueillent un score supérieur à
5/7 donc un taux d’acceptation relativement élevé.
Les agents
conversationnels ou bots dédiés au tourisme sont à l’heure actuelle dans leur
phase d’expérimentation traitant des domaines
ontologiques très limités et n’ayant aucune possibilité d’interagir avec
d’autres domaines, car la taxonomie utilisée par les programmes de traitement
du langage naturel (NLP) est propre à chaque application. Cette étude démontre
que les quatre premières fonctions attendues concernent des connaissances variables
(heures d’arrivée ou de départ, disponibilité de siège ou de chambre, prix des
billets), il est donc absolument nécessaire que les bots puissent communiquer
avec d’autres environnements ontologiques. La taxonomie de ces quatre domaines ontologiques
a été progressivement standardisée par les agences en ligne (OTA) et les
moteurs de recherche depuis de nombreuses années. Il sera donc relativement
aisé à un bot de trouver et de restituer ces informations pour autant que le
logiciel puisse interagir avec les standards XML internationaux tels que Open Travel Alliance
que l’on retrouve aussi chez Schema.org.
Viennent ensuite des attentes concernant des
connaissances beaucoup plus statiques (des informations à propos de la voiture
de location, des consignes de sécurité, des services offerts par les hôtels ou
encore des informations sur les destinations. L’accès à ce type d’information
reste au stade du défi, car si les deux consortiums de standardisation ont bien
publié des « schemas » XML (dictionnaires de données) pour les
établissements d’hébergement[4],
les systèmes d’information touristiques susceptibles de fournir ces données
sont peu nombreux. Quant à ceux capables répondre aux questions relatives à
plusieurs destinations ils sont encore plus rares et n’ont pas été conçu pour
être interfacés avec des bots.
Liste et évaluation des services pouvant
être robotisés selon l’étude de Stanislav Ivanov et Craig Webster
[1] Stanislav Ivanov Department of Tourism, Varna University of
Management, Varna, Bulgaria et Craig Webster Department of Management, Ball
State University, Muncie, USA
[2] Le titre original en anglais est : « What Should Robots
Do? A Comparative Analysis of Industry Professionals, Educators and Tourists”
[3] Créateur du Media Lab au MIT et co-fondateur de
la revue Wired.
http://www.cyberstrat.net/wp-content/uploads/2013/04/Cyberstrat_logo_horizontal_340x160px1.jpg00Jean-Claude Morandhttp://www.cyberstrat.net/wp-content/uploads/2013/04/Cyberstrat_logo_horizontal_340x160px1.jpgJean-Claude Morand2019-03-07 07:43:252019-11-13 08:48:40Que doivent faire les robots dans le Tourisme ?
INSBRUCK, GUILDFORD, 4 mars
2019 – Le marketing numérique dans le tourisme a été l’un des sujets importants
lors de la conférence ENTER2019
eTourism, qui a eu lieu à Nicosie, à Chypre, le 29 janvier-1er février 2019. En
tant que principale communauté mondiale indépendante pour les technologies de
voyage et de tourisme, la Fédération internationale pour l’Informatique, les
voyages et le tourisme (IFITT)
a organisé sa 26ème conférence annuelle, réunissant des experts en
technologie, des entreprises du voyage, des universitaires et des professionnels
du tourisme pour échanger des idées sur les dernières recherches et tendances
pour l’avenir de la technologie et du tourisme.
Après avoir évoqué les progrès
de la robotisation et de l’intelligence artificielle au sein de cette
industrie, l’une de leurs principales conclusions est d’affirmer une nouvelle
fois que les praticiens du tourisme et de l’hôtellerie doivent réagir aux
changements de marché avec des stratégies innovantes de marketing numérique
telles que la réalité virtuelle, le marketing d’influenceur et les techniques
qui permettent une étude de marché approfondie.
Un focus sur la réalité visuelle et
virtuelle
Daniel Wishnia, consultant en marketing numérique pour GCH Hotel
Group, un pionnier dans l’adoption de la réalité virtuelle pour le Marketing
hôtelier, a souligné l’importance de plonger les clients dans l’expérience 3D
de leurs hôtels, avant même leur arrivée. En dehors de la réalité virtuelle, Wishnia a également souligné
l’importance d’utiliser des vidéos autant que possible sur le Web pour
améliorer le service à la clientèle et l’image de marque. « Les entreprises hôtelières doivent suivre
les nouvelles technologies pour continuer à faire appel aux consommateurs
connectés, non seulement sur les moteurs de recherche, mais aussi sur les
réseaux sociaux pour créer une présence multicanal », explique Daniel Wishnia. Il affirme que les avantages
du développement d’un e-commerce attrayant pour un hôtel peuvent induire la
maximisation des possibilités de production de revenus et l’augmentation de
nouveaux clients.
L’efficacité de la réalité
virtuelle pour le marketing touristique est soutenue par la recherche. Au cours
de la conférence, la meilleure publication de l’année 2019 a été décerné à Iis Tussyadiah et à ses collègues de
l’université de Surrey pour leur article publié dans la gestion du tourisme
intitulé « Réalité virtuelle, présence et changement d’attitude : données
empiriques issues du tourisme ».
Big Data et machine learning dans le
marketing numérique ciblé
Holger SICKING, responsable
des études de marché auprès de l’Office national du tourisme autrichien (ANTO),
a souligné l’importance croissante de l’analyse des données, en plus des
approches de marketing classique, pour les destinations. L’équipe de recherche
d’ANTO utilise des sources de données internes en combinaison avec plusieurs
sources de données externes, telles que les données issues des téléphones
mobiles et le contenu généré par les utilisateurs sur TripAdvisor. En utilisant
des tableaux de bord innovants et des algorithmes d’apprentissage automatique,
des points de vue innovants sont générés et adaptés à des segments de marché spécifiques.
Des pré-tests des campagnes réalisés à l’aide d’analyses des émotions, de
tableaux de bord de mesure de la performance et de l’utilisation de la
reconnaissance d’image dans les médias sociaux permet d’approfondir leurs
stratégies de marketing. « De plus en plus, les marketeurs deviendront
des chercheurs et les chercheurs deviendront des spécialistes du marketing »,
explique Holger SICKING, indiquant qu’il sera essentiel que les organismes de
coordination des données participent à l’avenir à la coopération dans ce
domaine, avec un besoin grandissant d’experts.
Marketing d’influenceurs
Lisa Binderberger, fondatrice de Boom Creative Lab, a partagé son
point de vue et ses expériences pour comprendre le potentiel du marketing d’influenceur. Sa société
aide les clients à embrasser l’ère numérique en collaborant avec les
technologies émergentes, les plateformes sociales et les influenceurs sur les
médias sociaux pour créer des contenus numériques et promouvoir des
destinations. Binderberger a
expliqué qu’en concentrant les efforts de marketing sur les leaders d’opinion,
le marketing d’influenceurs est une forme rentable de promotion tirant parti de
l’interaction directe avec les consommateurs en fonction de la confiance
établie. Le marketing d’influenceurs ne montre aucun signe de ralentissement.
Lisa Binderbergerlors de son intervention à ENTER2019 – – image libre de droit
Prochaine
Conférence ENTER2020
La prochaine Conférence
ENTER2020 sera accueillie par l’école d’hôtellerie et de gestion du tourisme de
l’Université de Surrey le 8-10 janvier 2020. Pour plus d’informations, visitez
: www.ifitt.org
Note : les journalistes souhaitant obtenir une accréditation pour le prochain congrès DE JANVIER 2020 peuvent contacter les personnes ci-dessous.
IFITT est une association à but non lucratif créée en 1998 ayant son siège social à Innsbruck (Autriche). Au fil du temps, c’est devenu une communauté indépendante leader mondiale pour la discussion, l’échange et le développement des connaissances sur l’utilisation et l’impact des nouvelles technologies de l’information et de la communication (TIC) dans l’industrie du voyage et du tourisme. La mission de l’IFITT est de partager les connaissances, l’expérience ainsi qu’une véritable passion pour les TIC dans les voyages et le tourisme tout en s’assurant de l’excellence scientifique. La vision d’IFITT est d’animer un réseau mondial de connaissances en matière de eTourism. La communauté IFITT comprend de nombreux experts, universitaires et professionnels de tous les pays.
http://www.cyberstrat.net/wp-content/uploads/2013/04/Cyberstrat_logo_horizontal_340x160px1.jpg00Jean-Claude Morandhttp://www.cyberstrat.net/wp-content/uploads/2013/04/Cyberstrat_logo_horizontal_340x160px1.jpgJean-Claude Morand2019-03-06 09:25:162020-07-20 07:28:17Aperçu des dernières tendances influençant le marketing du Tourisme
Je n’ai pas encore lu cette dernière publication de Marianna Sigala mais rien qu’en consultant la table des matières, mes neurones s’excitent….c’est sans aucun doute un ouvrage que tous les spécialistes du #etourisme devraient avoir lu car de nombreux cas d’usages sont présentés.
http://www.cyberstrat.net/wp-content/uploads/2013/04/Cyberstrat_logo_horizontal_340x160px1.jpg00Jean-Claude Morandhttp://www.cyberstrat.net/wp-content/uploads/2013/04/Cyberstrat_logo_horizontal_340x160px1.jpgJean-Claude Morand2019-03-02 09:33:542019-03-02 09:35:09Big Data and Innovation in Tourism, Travel, and Hospitality