Présence au board de l’International Federation for IT and Travel & Tourism (IFITT)

IFITT LARGEST e-Tourisme communauté

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Alors que 250 experts français se réunissaient aux Sommets du Digital (#SOMDIG16 ) dans ma station favorite de La Clusaz, la semaine dernière j’ai choisi de me rendre à #ENTER2016 à Bilbao pour participer aux travaux de l’International Fédération for IT and Travel & Tourism (#IFITT) car j’étais aussi candidat pour rejoindre le conseil d’administration de cette organisme international.

Ainsi, le 4 février dernier, j’ai twitté la citation suivante de Gandhi «Be the change you wish to see in the world ». Cela pour illustrer une action que je préparais dans le domaine du e-Tourisme. Pour qu’un changement intervienne, il faut que nous en soyons les acteurs, quel que soit notre niveau d’influence. J’ai donc choisi IFITT pour exercer cette influence. IFITT est une communauté de plus de 250 experts, issus de nombreuses universités de 36 pays des 5 continents. En 2015, la France n’arrive qu’en 21e position parmi ces membres. La mission de cette fédération est de développer les discussions, les échanges et le développement des connaissances à propos de l’usage et des impacts des nouvelles technologies au sein de l’industrie du voyage et du tourisme.

IFITT 2014 Répartition par pays

Figure 1  Répartition des membres par pays en 2014

 

J’ai eu l’honneur d’être élu au conseil d’administration de cette fédération et à ce titre je me suis fixé plusieurs objectifs :

  •  Contribuer à intégrer les pays francophones au sein de cette fédération. J’espère ainsi qu’au moins 2 doctorants préparant une thèse liée à une problématique du tourisme participeront au Ph.D workshop qui se tiendra à Rome à l’occasion de la conférence annuelle ENTER2017 entre le 24 et le 28 janvier 2017 et pourquoi à l’IFITT Doctoral summer school fin août 2016. Bien que d’autres conférences aient lieu à la même époque en France, il serait profitable pour le développement du #eTourisme que quelques francophones notamment des professeurs et des responsables des destinations (OT, CDT, CRT,…) soumettent des papiers de recherche et surtout participent à la prochaine conférence annuelle à Rome.
  • Promouvoir l’usage des standards internationaux existants afin d’améliorer la visibilité des offres en ligne et d’accélérer le développement des packages dynamiques.
  • Supporter l’organisation d’IFITTTALK et de « Hangouts on air » en français et/ou en anglais dans les pays francophones
  • Après la publication de Tourisme 2.0 en 2007, je n’exclus pas l’écriture de Tourisme 3.0 afin de vulgariser les travaux de recherche entrepris par les universitaires membres d’IFITT pour accélérer le transfert des connaissances aux profits des professionnels du tourisme et du voyage. Les thèmes suivants devraient être traités : #smarttourisme #virtualagents #ai #websemantic #opendata standards (schemas.org opentravel,…) #iot

 #smarttourisme #eTourisme #tourisme #opendata #sidevents #frenchtech #IFT_Officiel #atout_france

PHOCUSWRIGHT prédit une concentration des agences de voyages en ligne en Europe

Medium

20/12/13 – Dans le cadre de mon activité de Business Angels, je viens d’analyser un nouveau dossier d’une start-up qui souhaite se positionner sur le marché de la vente des voyages en ligne (OTA).  En Europe, le marché des OTA reste fragmenté ne serait-ce/que pour des questions de langue et de particularités propres à chaque pays. Cette situation permet aux entreprises paneuropéennes de capter rapidement de grosses parts de marché. Selon la nouvelle étu

de « European Online Travel Overview » de  PhoCusWright : après avoir augmenté de 16 % en 2012, les réservations des OTA devraient maintenir une croissance à deux chiffres jusqu’en 2015, entraînées par une concurrence féroce entre les poids lourds mondiaux de ce marché. Ces marques leaders, dont  Priceline Booking.com et Expedia, ont capté 64% du marché des OTA de la région en 2012, soit 4 points de plus par rapport à 2011. Aux Etats-Unis le marché est encore plus concentré avec 4 marques contrôlant 95 % du marché. Une tendance qui se dessine également en Europe !…

 Luke Bujarski , Directeur de PhoCusWright, recherche. « Avec des marques mondiales, les acteurs régionaux auront de plus en plus de difficultés à soutenir la concurrence pour le segment lucratif des réservations hôtelières en Europe. »

Booking.com transforme de plus en plus ce marché en situation de monopole avec  30% de parts de marché à  lui seul.

Pour en savoir plus :

L’étude European Online Travel Overview» de  PhoCusWright  donne une vue détaillée du marché touristique européen avec des prospectives jusqu’en 2015 en taille et en croissance. Le rapport analyse de manière approfondie six marchés : France, Allemagne, Royaume-Uni, Italie, Espagne et Scandinavie. Le rapport met en lumière les tendances clés pour tous les segments notamment les vols, les locations de voiture, les TO et le train.

Adaptation d’un article de PhocusWright

Quelles nos forces et faiblesses en matière touristique ?

 

Le Club “France Terre de Tourisme”  vient de lancer un ouvrage écrit par Xavier LOUY, dont l’objectif avoué est d’entreprendre une action de lobbying pour sensibiliser les futurs élus au potentiels de cette industrie.

Générant d’ors et déjà un excédent commercial de près de 8 milliards d’euros, la France peut encore mieux faire notamment en attirant des touristes avec un pouvoir d’achat plus élevés. Pour cela il faut gommer certaines faiblesses afin de rester un pays leader en la matière et faire en sorte qu’au plus haut niveau de l’État on le considère à sa juste valeur comme une priorité.

Pour 9,40 € sur Amazon et 160 pages sa lecture nous apporte des arguments supplémentaires pour améliorer encore la situation française en ce domaine.

(C) Jean-Claude MORAND

Net Smart un nouvel ouvrage d’Howard RHEINGOLD

Net Smart

Howard Rheingold est un pionier du Web et plus particulièrement du Web 2.0. En 2002, deux ans avant le séminaire de Tim O’Relly il publiait Smart Mobs qui s’est affirmé comme une vision de ce que nous vivons aujourd’hui sur le Net.

Dans son nouvel ouvrage Net Smart: How to Thrive Online, Rheingold se demande comment nous pouvons utiliser les nouveaux médias pour que nous soyons des consom’acteurs. II nous propose d’utiliser ces médias de manière intelligente, humaine et en pleine conscience (mindfully) de nos actes.

II analyse comment les entreprises contribuent à l’amélioration des connaissances en utilisant de nouvelles formes de communication avec les réseaux sociaux.

Mots clés Technorati : net smart,howard Rheingold
(C) Jean-Claude MORAND

Le numérique et les offices de tourisme – Les technologies de l’information et de la communication au service de l’accueil

Le développement des technologies de l’information et de la communication (TIC) incite l’office de tourisme à repenser ses missions d’accueil. Parallèlement, les touristes utilisent désormais une variété de terminaux facilitant la diffusion d’informations pendant le séjour. Ces évolutions nécessitent d’appréhender toutes les incidences du numérique sur les problématiques de l’accueil.

C’est la raison pour laquelle Atout France, la DGCIS, Offices de Tourisme de France® – Fédération Nationale, ainsi que les fédérations régionales d’Offices de Tourisme d’Aquitaine (MOPA), de Champagne-Ardenne, du Limousin, des Pays-de-la-Loire, de Midi-Pyrénées, du RésOT Alsace, la FROTSI et le CRT Bourgogne, ont jugé utile de mener une réflexion sur l’état actuel et les perspectives de déploiement des outils numériques dans les offices de tourisme, leurs conditions de mise en œuvre et les changements qu’ils sont susceptibles de générer.

L’objectif de cette étude est de définir les modes d’accueil liés à la fois à l’évolution des technologies, mais aussi aux nouveaux comportements des usagers des Offices de Tourisme. Il s’agit de proposer une analyse comparative, sur le plan technique, des différentes applications d’aide à la visite et d’adaptation de contenus en fonction des clientèles et d’analyser, quels services apportent une réelle valeur ajoutée dans la relation avec les touristes pendant leur séjour ?

Une première partie rappelle les fondamentaux de l’accueil et de l’information sur place dans les Offices de Tourisme.

La deuxième partie dresse un panorama des outils et services numériques développés par les Offices de Tourisme sur leur territoire en matière d’accueil et d’information sur place. Cet état des lieux, fournit les données de cadrage sur les technologies déployées, en s’attachant à comprendre les objectifs poursuivis par les responsables des offices de tourisme, et en faisant ressortir un premier bilan en termes d’usages, de coûts, et de conditions de mise en œuvre.

La troisième partie consiste en une analyse des attitudes et attentes des utilisateurs en situation de mobilité touristique. Réalisée à partir de focus groupes de touristes français, elle met en évidence les attentes à la fois vis-à-vis des Offices de Tourisme et vis-à-vis des services numériques.

Enfin, ce guide expose la façon dont les Offices de Tourisme peuvent définir et mettre en œuvre une stratégie d’accueil en s’appuyant sur les outils et services numériques.

(C) Jean-Claude MORAND

La Net Generation dans l’entreprise– Une vision RH

Jeudi dernier à l’invitation de Michelle BERGADAÀ, j’ai eu à nouveau le plaisir de passer une excellente soirée à HEC Genève en compagnie des intervenants, étudiants et anciens participants des

· DAS en “Stratégie Marketing, Communication & e-business”

· CAS en Stratégie Marketing

· CAS en e-business & e-communication

Nous étions réunis à l’occasion de la sortie de l’ouvrage de Serge PANCZUK : « La Net generation dans l’entreprise »

Rédigé par un professionnel des ressources humaines (*), cet ouvrage aborde les impacts d’internet, des réseaux sociaux et de l’e-business sur la relation entre les salariés et l’entreprise, mais aussi sur la fonction des Ressources Humaines. 192 pages pour découvrir les réponses de l’auteur à des questions de fond et de forme telles que « Internet est-il un vecteur de progrès social et management ? », « Sommes-nous face à un changement de culture à la magnitude jamais atteinte depuis l’apparition de l’écriture ? » ou encore plus radicalement « Y a-t-il encore une place pour les ressources humaines ? ».

Autant d’interrogations que tout professionnel de ce secteur doit se poser actuellement. L’auteur partage sa vision d’un praticien mais aussi d’un universitaire en prenant le recul nécessaire pour analyser les évolutions technologiques et sociologiques.

Il détermine aussi bien en quoi les nouvelles technologies de l’information changent le profil des candidats, la façon dont les entreprises managent et plus globalement en quoi la « digital generation » remet en cause la façon dont les entreprises pensent – la culture d’entreprise -, agissent – le management – et s’organisent.

(*) Serge Panczuk est Vice-Président des Ressources Humaines Europe d’Edwards Lifesciences. Auparavant il était DRH en charge du Développement de l’Organisation au sein de Serono.

Diplômé de Sciences-Po Strasbourg, de l’ESSEC et du Ciffop (Paris II Assas), il est également chargé de cours à HEC Genève, à la Garvin School of International Management (Phoenix – USA) et à Cranfield Business School (UK). Il a également publié plusieurs livres sur le management des ressources humaines, le leadership et la gestion de carrière.

(C) Jean-Claude MORAND

Réseaux sociaux et entreprise : les bonnes pratiques

Depuis au moins trois ans, il est devenu impossible d’assister à une conférence liée au tourisme ou au marketing sans que plusieurs intervenants viennent nous expliquer ce qu’ils ont fait sur les réseaux sociaux et ce qu’ils en espèrent. Ce phénomène social issu de l’avènement des technologies du Web 2.0 qui ont vu le jour à la suite d’une conférence organisée sous ce nom par l’éditeur O’Relly fin 2004 n’a cessé d’évoluer. Plus de 750 millions d’Internautes ont rejoint Facebook, dont plus de 20 millions pour la France. Comme l’évoquent les auteurs de « Réseaux sociaux et entreprise : les bonnes pratiques », il s’agit « d’un phénomène durable qui façonne les organisations et la société. »

David FAYON et Christine BALAGUE s’emploient dans cet ouvrage à présenter des stratégies pour les grands métiers de l’entreprise. Que vous soyez DRH ou DIRCOM vous trouverez sans doute quelques idées qui vous convaincront que Facebook n’est pas seulement la distraction favorite de votre fille mais que cette approche peut aussi vous aider dans votre vie professionnelle. Et comme vous êtes nombreux à me lire au sein de l’industrie touristique et que vous vous êtes largement approprié ces réseaux, vous découvrirez aussi que sur des marchés émergents (les pays du groupe BRICS) cibles des destinations touristiques d’autres réseaux existent et qu’il convient de trouver les moyens techniques et financiers pour se rapprocher de ces clients utilisant des outils différents qu’en occident. Les auteurs présentent aussi quelques réussites en matière de vente d’Ikea à la Redoute. Des exemples encore peu répandus.

Impossible d’oublier la politique à l’aube de deux scrutins majeurs pour notre pays (l’élection présidentielle et les législatives qui suivront). Une lecture utile pour toutes les équipes des candidats car le Net et la conquête des électeurs de la génération Y passeront par les réseaux sociaux en 2012.

A la fin de chaque chapitre vous trouverez une série de recommandations pratiques qui vous aideront surement si vous décidez de franchir la porte des réseaux sociaux.

Jean-Claude MORAND – 15/11/11

Table des matières :

Introduction : Un phénomène durable qui façonne les organisations et la société

Chapitre 1 : Ressources humaines : recruter et collaborer avec tous

Chapitre 2 : Les réseaux sociaux pour la vente

Chapitre 3 : Marketing : diffuser de l’information et créer du buzz

Chapitre 4 : Communication : gérer sa e-réputation

Chapitre 5 : Gestion de la relation client : le Social Network Management

Chapitre 6 : Innover et créer avec les réseaux sociaux

Chapitre 7 : Les réseaux sociaux internes à l’entreprise/à un regroupement de professionnels

Chapitre 8 : Le salarié face aux réseaux sociaux

Chapitre 9 : Au service des associations, des ONG et des citoyens

Chapitre 10 : Réseaux sociaux et politique

Annexe 1 : Trame pour une charte Internet

Annexe 2 : Fiche de poste d’un community manager

(C) Jean-Claude MORAND

“Web : enjeux de confiance” un nouveau livre

Hier soir, j’ai eu le plaisir d’être invité pour la double cérémonie consistant à :

  • lancer le nouveau livre de PJ Benghozi, M Bergadaà et d’Erwan Burkhart “Web : enjeux de confiance”
  • fêter le dixième anniversaire d’e-sens. e-sens est une création des participants et des formateurs du Diplôme de formation en emploi de «stratégie marketing, communication et e-business» d’HEC Genève. Chaque année, c’est un réel plaisir d’accompagner un groupe d’étudiants dans ce travail d’investigation et de rédaction.

Je n’ai pas encore lu le livre, toutefois j’ai pu découvrir qu’il reprenait de nombreux témoignages recueilli auprès des experts qui sont intervenus lors de cette formation dans des domaines aussi variés que :

  • la confiance et l’e-réputation
  • la cybercriminalité
  • les comparateurs de prix et la banque en ligne
  • la cyber-politique

La dédicace plus que sympathique de Michèle BERGADAA, ne peut que m’encourager à livre cet ouvrage très rapidement, ceci d’autant que certains sujets sont aussi inclus dans la “mineure” e-Business que j’enseigne à la HEG de Genève.

Cette recherche-action permanente – menée par une équipe sans cesse renouvelée – permet aujourd’hui à e-sens de constituer une véritable source d’information fiable dans le domaine de la e-communication et de la veille technologique. Comprendre l’impact de l’avènement du Web 2.0, tel est l’objectif d’e-sens.

J’ai eu le plaisir d’intervenir à plusieurs occasions pour cette formation et j’ai été très heureux de retrouver des personnalités du monde de l’économie numérique. Certaines que je n’avait par rencontré depuis plusieurs années.

Le débat d’hier soir était également fort intéressant, la qualité et l’expérience des intervenants étant au rendez-vous.

(C) Jean-Claude MORAND

LES CLES DE L’INTERNET

L’exercice d’écrire et de publier un ouvrage de vulgarisation de l’Internet, 50 ans après la création des premiers réseaux d’ordinateurs par la DARPA est osé et pas facile. C’est pourtant le défi que s’est donné David FAYON, Responsable Système d’information et de gestion de la Poste, en publiant « Clés pour Internet ».
Malgré le grand nombre d’ouvrages spécialisés, celui-ci se distingue par la couverture presque exhaustive de tous les aspects de l’Internet en 11 chapitres qui se positionnent comme des approches de vulgarisation. David FAYON à dû sélectionner les informations pour que le contenu n’apparaisse pas trop indigeste à un béotien. Les lecteurs avertis resteront donc sur leur faim à de nombreuses occasions, mais c’est le lot de tout exercice de vulgarisation. Dans sa structure l’ouvrage me rappelle « CYBERSTRAT », le premier livre que j’ai publié en 1997. J’aurai aimé trouver des exemples concrets d’applications de chacun des concepts présentés, mais il est vrai que cela alourdirait considérablement le contenu et rendrait la lecture difficile. C’est l’un des rares ouvrages avec « Blog Story » de Cyril Fievet, « Foules Intelligentes » de Howard Rheingold ou encore « La révolte du pronetariat » de Joël De Rosnay, où l’on trouve un chapitre consacré aux aspects sociaux d’Internet. Par exemple, pour avoir partiellement suivi les travaux d’ISOC ce thème, David Fayon dédie un paragraphe à la gouvernance d’Internet et du rôle que les Etats-Unis exercent dans la gestion des DNS (annuaires des noms de domaine). Il évoque également le rôle que les collectivités locales peuvent avoir. Sujet qui revient sur les bureaux des maires avec la gestion de l’Internet à très haut débit que l’ARCEP[1] essaye de normaliser.

Il aborde aussi les changements comportementaux induits par la généralisation de l’accès à l’information. Pour ne prendre qu’un exemple, il écrit que « le temps de travail hebdomadaire des salariés des startups dépasse souvent les 60 heures. ». En fait, de nombreux cadres deviennent prisonniers de leur PDA ou de leur PC portable qui se retrouve de plus en plus souvent dans la check-list des affaires à emporter en vacances faute de ne pouvoir se connecter à la messagerie d’entreprise. Je suis l’un de ces accros, qui cherche désespérément un cybercafé dans le moindre village du Tigré ou du Rajasthan… et il y en a !

Ce ne sont certes que des clefs, faut-il encore ouvrir les portes de la connaissance pour approfondir chaque sujet en puissant dans d’autres ouvrages ou pourquoi pas simplement sur le Net. Préfacé par André Santini, un ancien ministre, quelque chose me dit que cet ouvrage doit trouver son audience au sein de la classe politique où il existe encore de trop nombreux cadres qui n’ont pas encore franchi le pas de la société de l’information. Alors si c’est votre cas, et que vous avez peu de temps, en 176 pages vous pourrez découvrir 11 trousseaux de clés pour mieux apprécier le potentiel de ce phénomène qui influence nos modes de communication de manière active depuis plus de 10 ans.

Le livre a été publié aux Editions ECONOMICA (ISBN 2-7178-5247-6), un site web lui est dédié ici

Jean-Claude MORAND – http://www.cyberstrat.net/

(C) Jean-Claude MORAND