Et maintenant 5 bonnes raisons pour opter pour un fux RSS

1) Une alternative au SPAM

2) La réduction du temps nécessaire pour accéder aux connaissances implicites

3) Une forme complémentaire de communication en complément du web et de l’email

4) Dans certains cas une forme de publication sans intermédiaires

5) Une étape transitoire vers la classification des informations non structurées.

Qu’en pensez-vous ?

(C) Jean-Claude MORAND

5 bonnes raisons pour ne pas considérer RSS

1) la degré d’acceptance par les lecteurs est encore trop faible

2) Le business modèle n’est pas clair

3) Impossibilité d’utiliser le multimédia

4) Les possibilité de personalisation sont faibles

5) Les statistiques sont pratiquement innexistantes

Qu’en pensez-vous

Dans mon prochain billet je vous donnerai 5 bonnes raisons de considérer RSS

(C) Jean-Claude MORAND

Developement de l’Image de marque et Teasing avec les flux RSS

Septembre 2004: A ce stade du développement du standard RSS, les utilisations de ce media en publicité restent limitées. Deux facteurs majeurs justifient cette faible pénétration. Le premier est lié à l’aspect non intrusif du media dont la lecture repose sur la seule volonté des destinataires à souscrire à un flux. On comprendra alors que les responsables de campagnes de publicité ciblées sur une audience très large hésitent encore à adopter ce modèle qui s’avérera peu efficace. Le second est lié au nombre d’utilisateurs avertis qui est encore trop faible pour lancer des campagnes de forme traditionnelle. Toutefois, on peut d’ors et déjà imaginer des campagnes ciblées sur des utilisateurs avancés : les leader d’opinion high-tech.

Notoriété et branding

Développer la notoriété d’une société, d’un produit, d’un service ou d’une application peut être envisagé en utilisant tous les canaux de communication disponibles pour atteindre le cœur de cible si possible en recherchant le meilleur retour sur investissement. Blogs et flux RSS entrent sans aucun doute dans cette catégorie pour les audiences technophiles ou étant fortement aidées pour recevoir les informations directement. Les responsables de marketing peuvent d’ors et déjà considérer les flux RSS dans leur communication mix.

Teasing

NIKE[i] a utilisé RSS pour un premier essai de teasing. En présentant l’ « art de la vitesse » et de petites histoires. L’ultime objectif des responsables du marketing étant d’associer la cible afin qu’ils se sentent concernés et se rappelle de l’expérience de la firme NIKE lorsqu’elle a sélectionné des réalisateurs de films. Commentez cet article sur le blog de Cyberstrat !

[i] Voir ce blog sur

(C) Jean-Claude MORAND

Etude comparative des blogs par rapport aux Forums

Dans un article publié en juillet 2003, Dave Pollards[1] présente les weblogs comme le dernier moyen de communication juste après les forums. Cette approche se comprend dans la mesure où les weblogs sont, comme les forums, simplement un outil supplémentaire créé pour la transmission et le partage des connaissances.

J’approfondi cette recherche de comparaison dans un white-paper que je viens de mettre en ligne ici. Je propose des critères d’évaluation qui doivent permettre de déterminer les situations dans les quelles il est préférable d’utiliser l’un ou l’autre.

N’hésitez pas à faire des commentaires sur ces propositions !

[1] http://blogs.salon.com/0002007/categories/businessInnovation/2003/07/01.html

(C) Jean-Claude MORAND

Augmentez la visibilité sur les moteurs de recherche en augmentant la popularité de votre site avec des flux RSS

L’un des critères retenu par les moteurs de recherche tel que Yahoo ou Google est la mesure de popularité d’un site en comptant simplement le nombre de liens pointant sur ce meme site. L’adoption du standard RSS pour diffuser les news relatives aux produits, applications ou simplement celles de votre société permet aux internautes de les syndiquer. En d’autres termes, ils décident d’être alertés chaque fois que vous publierez quelque chose de nouveau en utilisant les fonctions de leur “News Aggregator”. Celui-ci vient chercher (sous forme d’un PING pour les techniciens) les nouvelles à une fréquence données ou calculée automatiquement par le système. Si on prend l’exemple de Fairchild Semiconductor, un infomediator (Topix.net) publie des nouvelles pour un certain nombre de sociétés de ce secteur industriel en utilisant RSS comme vous pouvez le constater sur la copie de mon écran “My.Yahoo” ci-dessous.

Chaque personne décidant de syndiquer ce contenu, comme je l’ai fait, créé également un lien sur le site et la page qui héberge ce contenu. Toutes ces personnes augmentent donc la popularité du site donc sa visibilité sur les moteurs de recherche.

En plus si les résumés des pages contiennent des liens, ceux-ci contribueront également à accroître la popularité du site. Tout serait bien si les responsables de produits maîtrisaient RSS et appliqueraient cette technique. Pour notre exemple, ce n’est pas encore le case car les liens vont respectivement sur http://www.rfglobalnet.com/ , http://www.plantetanalog.com/ , http://www.masshightech.com/ et http://www.tmcnet.com/ . Et bien entendu, les infomediators s’abstiennent d’inclure des liens dans leurs articles car ils espèrent vendre de la publicité liée au contenu de ces pages à ceux même qui ont générés ce contenu !

La solution à ce problème est simple, il suffit que les auteurs publient leur contenu sous forme de flux RSS.

(C) Jean-Claude MORAND

Quelles differences entre un Forum et un Blog?

En abordant les blogs, je me suis demandé en quoi ce standard pouvait etre différent des forums web que nous connaissons tous.

En cherchant un peu sous Google, je n’ai trouvé qu’un ambryon de discussion intiée par Miguel

Cette réflexion m’a ammené à élaborer et à publier un white paper sur ce sujet comportant des tableaux comparatifs que vous pouvez trouver ici (fichier pdf)

Si vous avez des suggestions et commentaires, n’hésitez pas à les publier sur ce blog ou à m’envoyer un email.

PS: Il est également interessant d’observer les limitation des blogs qui ne me permettent pas de publier des tableaux!

(C) Jean-Claude MORAND