VibeAgent :un moteur de recherche touristique d’un nouveau genre

Dans le cadre de ma recherche des nouveaux modèles de marketing pouvant influencer l’industrie des voyages, j’ai découvert au début du mois de juin 2007 un site qui a su tirer profit de presque toutes les techniques du Web 2.0. Vibeagent.com est une start-up crée en 2006 en Virginie. Leur solution se démarque des nombreuses OTA (Open Travel Agency), des moteurs de recherche du voyage (ex. : Kayak) et des sites de purs réseaux sociaux par le fait qu’une partie de la sélection des hôtels est effectuée sur la base des recommandations des membres de votre réseau qui sont présent sur le site. L’idée repose sur le fait que nous accordons, à tort ou à raison, plus de confiance aux avis donnés par des personnes que l’on connaît même virtuellement qu’à des inconnus. Cette approche est une nouvelle expression du « customer generated marketing » qui met à mal la pertinence des budgets des chaînes hôtelières. Alors que tous essayent d’améliorer la perception de la qualité de leur service, même si celui-ci n’est forcément pas toujours au rendez-vous et en tout cas positionner différemment d’autres prestataires, nous retrouvons ici une implacable publicité comparative qui se déjoue de tous les astuces des responsables du marketing. Cette forme de recherche pourrait être une aubaine pour les petits établissements qui pourraient ainsi jouer sur l’affectif de leurs clients sensibles à un accueil chaleureux ou une décoration raffinée qui les inciterait à publier des revues élogieuses. Mais, malheureusement la chaîne de la vente en ligne suppose aussi que l’hôtel soit « réservable » en ligne. C’est-à-dire que des allotements de chambres soient disponibles dans les grands GDS ou bases de données de réservation. Et, en ce domaine les petites structures ont beaucoup de mal tant sur le plan financier et technique à adopter ce mode de distribution, mais aussi en termes d’agilité intellectuelle. Les connaissances requises pour mettre en œuvre un back-office capable de dialoguer avec les GDS ou un logiciel susceptible de recevoir et d’envoyer des messages de réservation en temps réel c’est-à-dire dans la majorité des cas XML aux normes d’échange international tels que ceux de l’Open Travel Alliance ou la norme du CETO XFT pour la France, sont souvent difficiles à acquérir pour le gestionnaire d’un petit établissement.
Revenons à Vibeagent.com. Dans un premier temps, le système vous invite bien entendu à saisir des paramètres quantitatifs relatifs au séjour, mais aussi qualitativement en proposant une série de thèmes qu’ils traduisent sous le terme d’ « experiential seach ». On peut également supposer que les autres attributs permettant de qualifier votre profil (âge, vos revues d’hôtels précédentes, celles des personnes que vous connaissez) sont pris en considération pour définir votre sociostyle sur le principe de l’affinité sociale. Cette affinité est toutefois limitée au choix des systèmes référencés c’est-à-dire Priceline (qui opère principalement aux Etats-Unis), Intercontinental Hotels (pas vraiment un choix pour les routards !), Venere.com (bien présent en Europe avec 12000 hôtels dans leur base et en particulier en Italie) et Reserve Travel . Il ne s’agit là que d’une première sélection de partenaires qui s’étoffera sans aucun doute au fil des mois et probablement lorsque ce système sera mis en marché en Europe. Le modèle d’affaires de Vibeagent.com repose en effet sur la génération de trafic sur les sites de réservation, leur challenge est donc de pouvoir offrir aux visiteurs un choix d’hébergement original et donc de nouer des partenariats avec de centrales de réservation qui se démarquent des grandes chaînes. Ayant mon profile chargé dans plusieurs systèmes de réseaux sociaux, je vois aussi une limite à la présence simultanée dans tous ces réseaux de Linkedin, Ziki, Viadeo à 6neregie qui se complète maintenant avec des réseaux sociaux spécialisés comme ceux de Vibeagent, Tripadvisor ou encore ceux dédiés à la recherche d’emploi tel que Jobmeteers. Il devient impossible d’être partout à la fois. Je crois donc que dans un proche avenir la problématique de la standardisation et de l’échange des données entre ces réseaux se posera. En l’absence d’une standardisation des échanges, qui avait déjà été amorcée avec UDDI, un acteur majeur pourrait alors se dégager, mais quel sera-t’-il ? Le système de profiling de Microsoft, celui de Google ou une ouverture de LinkedIn ou de Myspace vers des sous-réseaux thématiques ?
Si vous souhaitez essayer, pour l’instant le système est accessible sur invitation uniquement. J’en ai quelques-unes à votre disposition en échange d’une critique constructive de mon billet dans la perspective de la publication prochaine d’un ouvrage traitant du « Travel 2.0 »
(C) Jean-Claude MORAND – Cyberstrat.net

La bataille des webdesktop est engagée…

Orange Labs s’active pour proposer une innovation dans le domaine des pagess web personnalisée qui vient compléter les offres de live.com, Netvibes, IGoogle, PageFlake pour l’instant ce produit s’appelle Bubbletop.com. Une idée intéressante puisée dans la logique de RSS selon laquelle le principe de la communication est inversée. Ce sont maintenant les utilisateurs qui générent (ou plus exactement choisissent) ce qu’ils veulent recevoir. Selon les propos de Virginie De Bel Air, cheffe de projets chez Orange Labs à San Francisco, interviewée par Intruders.tv l’aspect social de ce nouveau système de pages web personnalisées en fait son originalité. Les widgets utilisent semble-t’il les standards RSS et leur syndication peuvent être croisées entre les membres d’un même groupe social. Ceci permet ainsi, à mon avis, de démultiplier la connaissance sur un sujet pointu. Chaque membre du groupe pouvant bénéficier des trouvaille d’un autre membre et transférer la widget par un simple glissé/collé sur son propre webdesktop, héritant ainsi de la syndication des flux identifié par son collègue. Je crois qu’il s’agit d’une première application RSS+AJAX+Widget+webdesktop+réseaux sociaux qui permet ainsi de faire remonter plus rapidement l’information auprés de ceux qui en ont besoin… d’où le nom de Bubbletop à l’image des bulles du champagne qui remonte à la surface… espéront simplement que l’aventure Bubbletop ait une durée de vie plus longue que celles de ces bulles qui éclatent au bout de quelques secondes.

Pour en savoir plus, visionnez l’interview réalisé par Thierry Bézier d’Intruders.tv ci-dessous

bubbletop – Orange Labs envoyé par Rfly

Jean-Claude MORAND – Cyberstrat.net

(C) Jean-Claude MORAND

+31% des ventes en ligne de voyages entre 2005 et 2006

Une étude récente (début 2007) du Centre de recherche pour le Tourisme au Danemark constate que les ventes en ligne des voyages, en Europe, ont augmenté de 31 % entre 2005 et 2006, cette augmentation à deux chiffres suivant celles de 2004 et 2005 qui étaient respectivement de 48 et 43 %. Les ventes via Internet atteignent maintenant en moyenne 15 % du marché total des voyages soit 38.3 milliards d’Euros et ce n’est pas fini ! Les chercheurs danois s’attendent à un ralentissement de cette croissance faramineuse, mais estiment néanmoins que les taux devraient être de 22 % en 2007 et encore 17 % en 2008 pour atteindre un peu plus de 21 % des ventes dans deux ans.
Ces pourcentages masquent des disparités régionales et par type de produits. Si en 2006 la France arrive en 3ème position avec 14 % des ventes, l’Angleterre nous devance de loin avec 34 %, suivie de l’Allemagne avec 20 %. L’étude danoise, met également en évidence une stagnation des parts de marché des compagnies aériennes estimées à 56 % du volume des ventes en ligne. Sans remettre en cause cette observation qui est sans aucun doute valable en ce qui concerne les ventes de billets d’avion, pour lesquels la commission versée aux agents de voyages a été supprimée, force est de constater que la grande majorité des compagnie low-cost utilisent le Net pour vendre de plus en plus en plus de produits connexes au voyage comme les locations de voiture, assurances et bien entendu les réservations d’hôtels. Il conviendrait donc d’avoir une analyse complémentaire pour définir le nouveau rôle des compagnies aériennes présentes sur le Net pour apprécier leur impact réel sur l’évolution des canaux de distribution. Ors en ce domaine, une autre étude de Phocuswright (Online travel overview 6th edition) prévoit que les compagnies aériennes devraient accroître encore leur présence sur le marché des voyages en augmentant leur part de marché de 17 à 25 % soit un peu plus de 50 % d’augmentation entre 2007 et 2009.
Les agences de voyages en ligne (OTA) tel que Voyages SNCF, Expedia, Lastminute, ou Opodo verraient leurs chiffres d’affaires augmenter dans les mêmes proportions pour atteindre 22 % des parts de marché en 2009. Toutes ces augmentations se faisant au détriment des agences de voyages traditionnelles qui perdraient dans le même temps 11 points de parts de marché, descendant à 42 % du marché des voyages. Il est probable que nous soyons ici en présence d’une estimation optimiste, car d’autres acteurs augmentent également leur présence sur le Net.
En premier lieu, les hébergeurs offrent de plus en plus souvent des possibilités de réservation en ligne, les moteurs de recherche verticaux tel que Kayak, Sidestep, Farecast et les sites d’évaluations collaboratives comme TripAdvisor, Gusto !, Tripconnect, s’attaquent également au marché européen. L’incroyable puissance des réseaux sociaux (Viadeo, Linkedin, Facebook ou encore Myspace avec ses 180 millions de membres, …) va sans aucun doute être la source de création nouveaux services encore plus personnalisés à destination des candidats au voyage ayant déposés leur profile dans les bases de données de ces réseaux.

L’étude danoise complète est disponible sur le site du Centre for Regional and Tourism Research, Denmark

Jean-Claude MORAND 08/06/07

(C) Jean-Claude MORAND

Enquête sur les pratiques et choix de consultation des blogs

Aref JDEY, coauteur de la version 2.0 de RSS, Blogs : Un nouvel outil pour le management vient de publier une étude rapportant les résultats de l’utilisation des blogs en entreprise. Alors que CISCO et l’organisation « Best practices in Corporate communications » tiennent aujourd’hui (5/06/07) le 1er sommet annuel « 2007 new Media Summit » au cours duquel la problématique de la mesure du ROI pour les médias sociaux sera traitée, les résultats m’incitent à avancer quelques idées que je vous invite à commenter.
Vous pouvez télécharger les résultats depuis ce lien (PDF) ou les visualiser sur slideshare.40% des lecteurs de blogs sélectionnent leurs blogs au moyen des blogrolls et 20% sous l’effet du bouche à oreille. Pour moi, cela veut aussi dire que les responsables du marketing chargés de générer du trafic doivent aussi s’intéresser en amont à la présence du blog sur les blogrolls. En d’autres termes, je n’exclus pas des campagnes de promotion destinées à convaincre d’autres bloggers à inclure le blog de l’entreprise (à prendre au sens large) dans leur liste. Je reviens ici sur une notion que j’ai développée par ailleurs d’online merchandising. Tout comme un produit de grande distribution, le produit « blog » doit pouvoir être mis en évidence dans les rayons d’un distributeur. Alors, pourquoi ne pas appliquer les méthodes de la grande distribution qui vend le mètre linéaire, la tête de gondole à leurs partenaires, car ils savent que ces emplacements génèrent de la demande. Et puis, pourquoi ne pas aller encore plus loin en proposant une animation à certains moments sous une forme ou une autre. En fait, ces méthodes sont déjà pratiquées par la régie publicitaire, Google Adwords en premier, pour promouvoir sous forme de bandeaux ou Adsense des sites. Ici, il s’agirait de monnayer la présence d’un blog dans la liste des blogrolls. Cela peut également se faire sous forme d’échanges, ou d’incitations plus subtiles prenant en considération le fort besoin de reconnaissance et de prestige d’une grande majorité des bloggeurs.

La deuxième idée tient au fait que selon les résultats de l’étude d’Aref JDEY, 50% des lecteurs de blogs ne lisent en fait pas le blog en question, mais utilisent leur agrégateur de flux RSS pour lire les billets concernés. Je fais parti de ceux-là ! J’ai quelques dizaines de blogs que je suis plus ou moins régulièrement avec 3 agrégateurs (IE7, Opera et Outlook 2007). Je « scan », c’est-à-dire que je découvre très rapidement les titres des billets dans les agrégateurs et je ne clique que sur moins de 10% des billets dont le titre et les quelques mots visibles dans l’accroche retiennent mon attention en fonction des mes intérêts du moment. Autant dire que dans ~90% des cas, je n’ouvre pas le blog et je ne vais donc pas surfer sur le blog de l’auteur. En admettant que mon comportement de consommateur soit proche du standard de ces 50% de lecteurs qui utilisent majoritairement la syndication des flux RSS qu’est-ce que cela implique pour les responsables de la communication ?

En premier lieu, la rédaction du titre et de la première phrase doivent être conçue comme une réelle accroche en fonction des attentes de la cible. Ensuite, l’importance du design du blog (élément confirmé par ailleurs dans l’enquête) n’est pas primordiale. La présence des photos, pas toujours bien acceptée par les systèmes antispam et les systèmes de messagerie qui la filtre pour alléger le volume de téléchargement des emails n’est pas nécessaire. Et, comme pour le point précédent, je pense que des possibilités de préconfiguration des agrégateurs restent possibles. Ainsi, au niveau de l’entreprise certains flux, en commençant par ceux créés en interne, pourraient être inclus d’office dans IE7, Firefox, Outlook… ou tout agrégateur. En fonction de l’évolution du taux d’adoption des webdesktops (live.com, Netvibes, Google desktop,…) l’intégration de widgets préconfigurées pour lire un flux ou un autre sera d’autant plus importante. Les mêmes techniques de merchandising pourraient voir le jour avec la possibilité de créer des programmes marketing incitatifs à l’installation d’une widget ou d’une autre. Je n’exclus pas un jour d’être rémunéré, directement ou indirectement, pour maintenir sur mon webdesktop un widget ou un autre. Je pourrais ainsi imaginer avoir le droit d’utiliser un programme particulier à forte valeur ajoutée que si une autre widget reste installée sur mon système.

Jean-Claude MORAND
(C) Jean-Claude MORAND

Partneriat entre Google et SalesForce.com ??

Dans son blog, TECHCRUNCH annonce la probable alliance entre Google et Salesforce.com en avançant de nombreux arguments pouvant la justifier. Je partage l’ensemble des analyses car en ce domaine (la gestion du cycle de vente et le CRM) les PMEs et les plus grandes entreprises ont encore beaucoup de chemin à faire. Les grands du logiciel d’Oracle/Siebel à SAP ou Microsoft CRM n’ayant pas vraiment réussi à gagner la faveur des entreprises, le développement d’applications sous forme de widgets ou SAAS (Software as a Service) me semble promis à un bel avenir. Cela veut dire, sans achat de licence et sans investissement dans une infrastructure informatique toujours trop lourde à financer et gérer surtout pour les services marketing qui ont parfois du mal à faire valoir leur priorité auprès de leurs collègues du département informatique englué dans la maintenance des ERPs et autres système de gestion des réseaux et de messagerie. En s’alliant à SalesForce.com, Google trouverait en plus l’expertise d’une plateforme de développement d’applications à la demande « Appexchange » . De leur côté, les responsables du marketing de Salesforce.com bénéficieraient de la notoriété du géant des moteurs de recherche qui se diversifie de plus en plus en direction de la prise de contrôle des écrans des utilisateurs professionnels en proposant une série d’applications supplémentaires. Attendons donc encore quelques heures pour en savoir plus…
(C) Jean-Claude MORAND

Tagging marketing appliqué aux voyages

1 juin 2007 – Les consommateurs que nous sommes apprécient depuis plusieurs années les bienfaits des stratégies de prix basées sur le yield management pratiquées par les compagnies aériennes. Mais il semble que des pratiques encore plus sophistiquées soient aux portes de notre espace aérien. Aux Etats-Unis les compagnies proposent de rembourser aux clients le différentiel de prix si la concurrence met en marché des vols à moindre coût. Pratique que l’on connaît ici dans la grande distribution ! Je viens de trouver un site qui a mis en œuvre ce que j’appelle le tag marketing. Vous êtes sans doute familier de ce concept qui se développe sur tous les blogs et sites avancés qui consiste à définir une série de mots clefs (tags) pour qualifier le contenu d’un texte. Ceci est de plus en plus souvent à l’initiative de l’auteur mais aussi celle des lecteurs qui contribuent ainsi collectivement à la classification de l’information. Cette technique correspond à la terminologie de folksonomie. De la même manière, les initiateurs de Yapta taggent les vols mis en marché et suivent l’évolution des prix pour chacun d’entre eux permettant ainsi aux consommateurs d’être avertis dès qu’une compagnie baisse le prix d’un vol. C’est, me semble t’il, l’une des premières applications commerciales du tag marketing que je qualifie aussi d’application pionnière du web sémantique car dans ce sont les tags associés à l’information qui sont utilisés pour générer du trafic que le modèle d’affaires de Yapta qui se rémunère sans doute en fonction de la demande générée sur les sites de ventes en ligne.
La video de CNN ci-dessous vous présente le système plus en détails.
Jean-Claude MORAND – Cyberstrat
(C) Jean-Claude MORAND

Le roi [du blog] se meurt…

Je viens de découvrir que le pape du blog en France quittait son poste de Directeur Général de Typepad et qu’il se consacrait dans un premier temps à soutenir la campagne de Nicolas SARKOZY. Nul doute qu’il entrevoit une saine occupation après le 6 mai. Ceci dit je suis aussi surpris qu’il lance une question sur son blog pour solliciter ses thuriféraires pour lui donner quelques pistes. Bien que je ne me fasse de soucis pour son avenir, je me suis risqué à proposer une solution car je pense que le développement des NTIC ou plus exactement de leurs utilisations par les entreprises et les particuliers dans le but d’améliorer les performances des premières et de répondre à des besoins plus large pour les autres. Voilà ce que je lui ai répondu qui pourrait être aussi petit morceau d’une feuille de route pour le futur potentiel « ministre » ou en tout cas responsable du développement des NTIC dans un prochain gouvernement : « Investir ton temps pour dépasser le concept des blogs et t’intéresser aussi aux autres approches des NTIC qui peuvent rendre les entreprises françaises plus performantes. Je pense notamment au développement des standards XML dans de nombreux secteurs industriels et commerciaux. Je pense aussi, bien naturellement à RSS, mais aussi beaucoup d’autres aspects qui sont développés dans les labos de l’INRIA, du W3C et de nombreux autres centres de recherche… mais avec ces équipes, il faut aussi savoir faire preuve d’humilité. »

(C) Jean-Claude MORAND

3000 ans d’histoire de la gestion de la connaissance au Salon du Livre de Genève

En ce moment, j’oublie un peu RSS pour revenir vers une passion de toujours qu’est l’Intelligence Artificielle. Alors que depuis la civilisation axoumite, les moines ont été les garants de la transmission de la connaissance dans le merveilleux pays éthiopien, le défis des voyagistes est de faire découvrir aux candidats au voyage les atouts d’un pays. Géo-Découverte , (que je dirige) reprend le flambeau en présentant le prototype d’un premier conseiller de voyage virtuel sous les traits de Makéda (nom éthiopien de la Reine de Saba) au Salon du Livre de Genève du 2 au 6 mai 2007. En fait, un avatar, réalisé avec la complicité de Netsbrain.com couplé à un programme d’intelligence artificielle répondra de vive voix aux questions que les visiteurs se posent avant un voyage en Ethiopie.

MAKEDA, se joint donc à moi pour inviter à Genève le 6 mai pour faire sa connaissance.

(C) Jean-Claude MORAND

TOURISME : Les nouveaux intermédiaires 2.0

Vendredi 26 janvier, une conférence sur le thème les « TechnoArk et ses Transformeurs : Les modèles d’affaires de l’économie 2.0 » s’est déroulée dans le Valais (Suisse) à Sierre. J’ai eu le plaisir de présenter vendredi 26 janvier à Sierre. J’ai eu le plaIsir de pouvoir partager en 45 minutes ma vision sur le Tourisme: les nouveaux intermediaires 2.0 à une audience de professionnels.


La vidéo de cette présentation est disponible en ligne.

Les diapositives de cette présentation sont également disponibles en cliquant sur les images ci-dessous :

Les présentations des autres intervenants sont également disponibles sur le site de TechnoArk.ch :
http://www.technoark.ch/index.cfm?Page=BuildPageIntermed&MainMenuId=120&SousMenuId=221&SousSousMenuId=120

Vous pouvez dès à présent visionner les ateliers animés par Jean-Claude Morand, Antoine Perruchoud et Sébastien Fanti : http://mmm.idiap.ch/technoArkEvent2007.html

Cette page est le résultat d’un système automatique d’enregistrement de présentations développé par l’IDIAP.

(C) Jean-Claude MORAND

TechnoArk et ses Transformeurs: Les modèles d’affaires de l’économie 2.0

Géo-Découverte et Jean-Claude MORAND interviendront au TechnoArk, site valaisan à haute densité technologique, le vendredi 26 janvier à l’occasion d’une journée libre et gratuite pour découvrir les nouvelles opportunités offertes par « l’économie directe ». En présence notamment de Xavier Comtesse d’Avenir Suisse, parrain de la manifestation, et Pascal Rossini d’Adsclick, c’est l’occasion de découvrir les 35 entreprises du TechnoArk, les 300 personnes qui y travaillent, et ses 3 instituts de recherche (Institut Icare, Institut Informatique de Gestion et Institut Economie et Tourisme) !
  • Assister à la conférence de Xavier Comtesse sur « l’émergence de l’économie directe » pour découvrir en primeur son dernier livre qui décrit avec précision les changements économiques en cours et l’intervention de Pascal Rossini sur le bouleversement provoqué par les innovations actuelles sur les stratégies des entreprises traditionnelles.
  • Participer à 6 workshops à choix, avec des entreprises et entrepreneurs « transformeurs » qui intègrent ces principes dans leurs modèles d’affaires et qui partageront avec les
    participants les facteurs de succès de ce changement.

    Plus d’infos sur www.technoark.ch/EVENTS/Event07/Documents)

((( Jean-Claude Morand, CEO de Géo-Découverte, animera le workshop « Tourisme : les nouveaux intermédiaires 2.0 ». Ce workshop est tiré de son dernier ouvrage et permet aux participants de découvrir comment ils peuvent, en quelques minutes, créer un flux RSS pour accroître leur visibilité sur le Net par le jeu de la syndication. Les applications présentées sont particulièrement destinées aux acteurs touristiques petits ou grands.

C’est gratuit ! Rejoignez les 142 personnes déjà inscrites – allez ici !

(C) Jean-Claude MORAND