Testez votre niveau de e-Culture !

L’expression e-Culture désigne les comportements et pratiques dans un écosystème numérique, tant au niveau individuel que collectif. Par exemple la manière de traiter les courriels, de partager des informations sur le web, de gérer la formation à distance, d’animer une communauté virtuelle… L’e-Culture est un domaine transdisciplinaire, à cheval entre plusieurs sciences sociales et techniques. Sémantiquement, eCulture est le condensé de « culture de la communication par voie numérique ». Le « e » symbolise l’électronique numérique, comme dans eCommerce, ePortfolio…

Une équipe de chercheurs issues de plusieurs universités françaises et suisses viennent de publier le rapport final de leurs travaux réalisés dans le cadre du programme européen Interreg3A F-CH. Si leurs travaux concernent essentiellement le monde de l’éducation, les résultats sont largement transférables à d’autres secteurs économiques. Si vous avez un quart d’heure, pourquoi ne testeriez-vous pas votre niveau de e-Culture sur  le QUIZZ qu’ils ont élaboré autour de 3 thèmes que sont l’infobésité, ePortfolio et Coopérer. Vous retrouverez donc positionné quelque part entre une situation de « Digital Naïf » et « Digital Native ». Cette dernière catégorie étant le privilège de la « Génération C », c’est à dire ceux qui sont nés avec une souris dans la main et qui ne la quitte plus. Pour illustrer ce phénomène, l’équipe a réalisé un film avec un panel d’étudiants qui affichent leurs attitudes face au média Internet au quotidien… comment ils le vivent. Au menu: alphabétisation numérique, coopération par Internet, infobésité et autres réalités qui, sans que l’on s’en aperçoivent, font notre quotidien.

Digital Natives (*)

Digital Natives par TheoBondolfi

Les résultats présentés comprennent également 5 micro-scénarios pédagogiques élaborés par le Centre NTE de l’Université de Fribourg. Bien que ces cours soient destinés à des étudiants, il parait intéressant de pouvoir les reprendre dans le cadre des formations pour les salariés de nombreuses entreprises. Je pense en particulier à de nombreux cadres marketing et responsables des budgets publicitaires qui doivent adapter leurs modes de communication aux nouveaux comportements des consommateurs qui sont devenus des « consomacteurs ». Je reviendrai ainsi prochainement sur l’évolution des outils de mesure de l’efficacité publicitaire qui sont passés du CPM au CPC, puis au CPA et maintenant au CPE.

Les membres de ce projet comportaient les Université de Fribourg, le TECFA et la HEG de Genève, l’organisme de formation à distance valaisan FERNUNI, la Faculté de théologie de Lausanne (UNIL), ERACOM et la Fondation pour l’eCulture Ynternet.org.

(*) Ce film s’est inspiré d’un projet similaire: « Visions of students« , film de Michael Wesch / Anthropologie culturelle sous licence Creative Commons.
Pour plus d’informations sur l’historique du projet Digital Natives, vous pouvez lire notre article « Digital natives – Un film pour donner la parole aux étudiants sur l’eCulture ».

Jean-Claude MORAND 17/10/08

Une conférence et une table ronde "Marketing e-Tourisme" le 22 octobre

La matinée du 22 octobre est une matinée que j’aurais préféré planifier autrement. D’une part, je vais avoir le plaisir de découvrir les joies d’un ménisectomie (*) mais en plus je ne pourrai pas saisir l’opportunité de rencontrer et d’écouter des leaders de l’industrie avec lesquels il me serait très agréable de pouvoir partager quelques uns de mes projets. Bref, une matinée à ne pas manquer si vous en avez la possibilité.

Les nouvelles technologies ont changé radicalement notre façon de consommer le monde du voyage. Dans ce contexte, la Matinée Influencia Marketing e-tourisme du 22 octobre prochain réunira des experts du Web 2.0 et de l’industrie du tourisme pour vous donner les clés pour vous tailler une place sur ce nouveau marché.

Le conférencier international de renom, Tom Hall de Lonely Planet UK viendra exposer les stratégies Web qui ont permis à Lonely Planet de devenir le plus grand producteur de contenu de voyage.

Autour de la table ronde, des experts français dont :

· Christophe Leon, Directeur Marketing de Voyages-SNCF.com

· Enrique Nalda, Directeur du Département Voyages de Google

· Jean Wieviorka, Directeur Ventes Directes chez Air France

· Frédéric Van Houtte, Directeur Général de Selectour.com

· Nancy Cabasson Faure, Directeur Mise en marché international pour Accor, Novotel

· Animé par Remy Bain-Thouverez, rédacteur en chef de i-tourisme

Ils vous montreront comment utiliser efficacement les nouvelles technologies pour accompagner le voyageur et le fidéliser.

L’événement Marketing e-tourisme aura lieu le 22 octobre 2008 de 8h30 à midi à l’Espace du Centenaire – Gare de Lyon (Paris XIIème).

Si vous avez la chance, envoyez moi quelques photos avec un compte rendu de cette table ronde afin de pouvoir partager les fruits de cette conférence à la communauté.

(*) ablation partielle d’un ménisque qui n’a pas supporté les heures de tennis, les longues descentes en montagne, les extensions pivotées en poudreuse et la neige un peu plus lourde … et le surpoids !

(C) Jean-Claude MORAND

Google intègre Maps en 3D pour les portables

Le marché du voyage et en particulier celui de la localisation est l’un des grands espoirs pour tous les acteurs qui opèrent dans le monde des mobiles. Les fonctionnalités introduites par Apple sur son IPhone commencent à se propager sur d’autres modèles et cela donne des idées aux auteurs de logiciels pour ces nouveaux appareils portables. Ainsi dans un billet récent David Conway – chef de produits dans l’équipe d’Androïd de Google déclare que lors du portage de Google Maps sur cette plateforme, ils ont déployé des efforts pour saisir toutes les opportunités technologiques du nouveau T-Mobile G1 comme l’écran tactile, l’accéléromètre ou le GPS le tout intégré avec le nouveau système d’exploitation proposé par sa société. Il s’enthousiame naturellement pour ce nouveau bébé en précisant que son activité favorite avec Google Maps sur Androïd et de pouvoir découvrir de nouveaux lieux. « Vous pouvez explorer le lieu et zoomer facilement en utilisant simplement votre pouce sur l’écran tactile – un avantage indéniable lorsque vos autres doigts ne sont pas disponibles ». Mais vous l’aurez compris, là où Google escompte bien rentabiliser son investissement dans cette application, c’est lors d’une recherche d’un restaurant ou d’un hôtel à proximité, les informations sont aussi non plus à un clic, mais à une pression de votre petit doigt. L’application peut aussi afficher le quartier en mode « Street view » c’est-à-dire en 3 dimensions pour vous présenter une situation proche de la réalité comme si vous étiez sur le trottoir d’en face… en fait, vous le serez peut-être dans quelques semaines lorsque vous testerez l’application. Si cette forme d’affichage ne vous permet pas de trouver l’établissement que vous cherchez, vous pouvez aussi demander à Google Maps de passer en mode « Compass » et de déplacer votre T-Mobile G1 (les autres suivront…) pour regarder ce qui ce passe à droite, à gauche, plus haut ou plus bas… la démo est particulièrement bien réussie sur ce point.

Cette application disponible, pour l’instant, uniquement sur le marché américain permet également de stocker vos destinations préférées comme celles de vos contacts. Il vous sera donc aisé de retrouver le bon coin où vous été quelques années auparavant ou de trouver une veille connaissance qui habiterait pas trop loin de où vous vous trouvez….à moins que les pubs de Google vous rappellent intelligemment que la meilleure bouillabaisse se trouve qu’à 50m de là.

L’application intègre également la solution de messagerie instantanée, l’email et bien entendu le un navigateur web. Par exemple, les adresses qui sont affichées sous forme de texte deviennent des liens réactifs sur lesquels une simple pression vous permettra de positionner l’endroit sur une carte. Maps est une application ouverte disponible pour d’autres applications telles que les deux gagnantes d’un concours organisés par la firme : Cab4me and Locale. Nul doute que nous verrons apparaître de nouvelles applications particulièrement dédiées au tourisme dans les mois à venir en oubliant pas que les analystes prédisent que 550 millions d’utilisateurs auront un appareil de ce type d’ici 5 ans (2012). Un marché sur lequel se positionne aussi une startup savoyarde Visioglobe qui espère bien grignoter quelques parts de marché sur ce terrain même si le marché de Google ne leur est pour l’instant pas ouvert, ils n’en reste pas moins vrai qu’ils affirment que leurs algorithmes de calculs sont plus performants que ceux utilisés par Google en ce qui concerne la 3D.

Et si vous souhaitez en savoir plus… même si vous ne comprenez pas très bien l’anglais… je vous invite à visionner la vidéo de présentation ci-dessous.

L’image et la vidéo sont de Google…

Jean-Claude MORAND

Mots clés Technorati : VISIOGLOBE,GPS,G1,Androïd,Google Iphone,Cab4meM
(C) Jean-Claude MORAND

La moitié des anglais passent à la concurrence lorsqu’ils rencontrent un problème sur un site.

Selon les résultats de cette étude, les sociétés britanniques auraient un manque à gagner de prés de 14 millions d’euros en n’améliorant pas les interfaces utilisateurs. Après avoir interrogé 1921 consommateurs en août 2008, les auteurs suggèrent que les acteurs du voyage en ligne doivent porter une attention particulière à la distribution multicanal (Agences, call centers et site webs). Par exemple, leurs résultats indiquent que 75 % de téléopérateurs n’ont pas toute la connaissance des offres sur les sites web. Ils observent aussi une détérioration importante de la fidélité des internautes. Ils sont maintenant 49 % à passer à la concurrence face à un problème lors de leurs transactions en ligne alors qu’ils n’étaient que 37 % en 2007 soit une augmentation significative de 12 points. Il faut bien admettre que nous sommes de mieux en mieux informés et que les sites de voyages ne manquent pas et de plus les offres sont souvent bâties en utilisant les mêmes bases de données. Je rejoins Galat,VP marketing et de la stratégie produits de Tealeaf, lorsqu’il note que « les gens oublient que la notion de self-service est souvent associée à un élément de service. » C’est sans aucun doute dans ce domaine que les nouveaux entrants pourront se démarquer au milieu de la multitude d’agences en ligne, car 83 % des adultes ayant eu des problèmes lors de leurs transactions en ligne expriment un sentiment de frustration. L’impact peut être désastreux lorsque l’on sait que 77 % partageraient cette frustration avec leur entourage et que la moitié d’entre eux (53 %) décourageraient leur famille et amis d’utiliser les services du site en question.

La sécurité des transactions en ligne en commençant par la remise d’un reçu des achats effectués est souvent oubliée sur les sites de voyages en ligne selon une étude entreprise par Harris Interactive pour Tealeaf. Cette étude observe une course aux fonctionnalités et bien entendu la présence des derniers gadgets du Net en lieu et place des fondamentaux de la vente en ligne.

Je suis surpris de la remarque du Geoff GALAT, elon laquelle la personnalisation de la relation en ligne n’est pas importante pour les acheteurs en ligne. Car j’aime bien les cookies qui permettent aux sites de me reconnaitre et de me proposer des voyages conformes à mes préférences ! Il pense également que les agences en ligne perdent de l’argent en enrichissant trop leur site et en oubliant leurs objectifs de vente. Il précise encore que « vous trouverez toujours une personne pour vous convaincre d’ajouter des fonctionnalités, mais cela revient souvent à porter trop d’attention à ces aspects techniques. » Il est vrai que certaines agences privilégient la beauté d’une interface en Flash, certes souvent séduisante à regarder, mais désastreuse lorsque l’on se soucie du ratio « look-to-book », c’est-à-dire le taux de transformation des visiteurs. « Avec de plus en plus de Britanniques utilisant Internet pour leurs transactions, les sociétés qui adoptent la bonne attitude sont idéalement placées. Cependant, nous avons un signal fort indiquant que les internautes ne sont pas tolérants lorsqu’ils sont confrontés à un problème sachant qu’ils sont qu’à un click de souris pour rejoindre le site d’un concurrent qui ne présenterait pas ces problèmes.» affirme Rebecca WARD, CEO de Tealeaf.

Jean-Claude MORAND

(C) Jean-Claude MORAND

14 millions de $ pour une startup du tourisme en ligne

Les dirigeants d’UpTake, contrairement à de nombreux autres sites dédiés à la recherche des meilleures opportunités de voyage qui se créent chaque jour, savent qu’il leur serait difficile de se positionner en leader sur ce marché. Alors, tout comme Triptouch,TripWolf, IgoUgo, ou encore TripSay, le site agrège du contenu en provenance de sources variées et en obtenant du trafic généré par les principaux moteurs de recherche. Après avoir levé 4 millions de dollars en décembre 2007 juste après l’ouverture de leur site en version beta, la startup vient de lever plus de 10 millions de dollars de fonds en provenance de sociétés de venture capital (Trinity Ventures, Shasta Ventures) et de quelques autres investisseurs. Un total de 14 millions de dollars !

Uptake déclare que « ce financement doit leur permettre d’atteindre trois objectifs. Le premier est d’étendre les possibilités de recherches à d’autres catégories en plus des hotels : UpTake , UpTake Things to Do, UpTake Restaurants and UpTake Beaches. Le second nous permettra d’investir dans notre technologie de recherche pour améliorer les recommandations de voyages basées sur l’analyse et le filtrage de l’intelligence collective. Finalement, nous continuerons à rechercher des opportunités de croissance externe. »

De quoi à faire rêver tous les entrepreneurs français qui ont une idée pour développer le business du voyage ou du tourisme en ligne. Celà dit, rien de nous empêche de frapper à la porte des VC américains.

(C) Jean-Claude MORAND

41% des réservations d’hôtels se font en ligne pour DAVOS

Selon Vincent Landon, World Radio Switzerland 41% des réservation au centre de réservation de Davos ont été faites via Internet. Une augmentation de 30% par rapport à 2007.

Pour en savoir plus l’article en anglais est ici : http://www.worldradio.ch/wrs/news/switzerland/internet-shakes-up-swiss-tourism-industry.shtml?11444

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Choisissez et évaluez votre guide

Avec l’avènement du Tourisme 2.0, nous avions déjà les agences de voyages en ligne, les sites d’évaluations collaboratives pour les hébergements mais très peu de chose en ce qui concerne les services annexes fournis par des organismes qui ne sont pas pris en charge par les GDS. Ourexplorer.com essaye de saisir cette niche en proposant un répertoire des guides de tourisme par destination. Pour l’instant la version beta du site permet à n’importe quel quidam de s’inscrire comme guide sur la base d’une simple déclaration sur l’honneur et l’engagement d’offrir 2 heures gratuites à des clients qui évalueront le service rendu. C’est à ce moment que l’expérience deviendra intéressante. Reste à savoir si les 3000 moniteurs l’Ecole de Ski Français, les accompagnateurs de moyenne montagne, guides de haute montagne et autres titulaires de brevets d’Etat pour l’enseignement du sport rejoindront ce système pour promouvoir leurs services.

Par ailleurs je pense, que comme pour les évaluations des hébergements, les initiateurs de ce projet apporteront une réelle valeur ajoutée lorsqu’ils interfaceront leur système avec les moteurs destinés à concevoir des packages dynamiques. Alors, quand pourront nous réserver notre guide via Expedia ou Voyages SNCF ?

En attendant, allez choisir un guide suisse de Verbier ou Zermatt et si vous être guides du patrimoine ou de tourisme, pourquoi ne pas vous inscrire pour essayer ! C’est gratuit. Et revenez sur ce blog pour poster un commentaire pour partager les fruits de votre expérience.

Mots clés Technorati : ourexplorer,expedia,voyages SNCF,Guides

Jean-Claude MORAND – 02/09/2008

(C) Jean-Claude MORAND

16.7 millions d’abonnés au haut débit

Selon l’ARCEP, la France compte 16,7 millions d’abonnés haut débit au 30 juin 2008, dont 15 875 millions en ADSL. Le nombre d’abonnements a augmenté de 450 000 au cours du deuxième trimestre (+2,8%). Sur un an, l’accroissement est de 2,5 millions (+18%). Le rythme de progression annuelle fléchit depuis le troisième trimestre 2006.

Pour en savoir plus http://www.arcep.fr/index.php?id=9761

Autant dire, que nous nous approchons de plus en plus du taux d’équipement maximum des foyers. Les usages se développent également avec des applications de plus en plus riches.

Mots clés Technorati : arcep,haut-débit
(C) Jean-Claude MORAND

Les contenus des guides Lonely Planet disponibles sur Nokia Maps

28/8/2008 – Je ne sais plus très bien comment appeler l’appareil électronique accroché à ma ceinture. Au début, il s’agissait d’un téléphone, puis c’est devenu une base de données avec tous mes contacts, ensuite un agenda, un appareil à photos, un réveil matin, un GPS et maintenant un guide touristique. Il faut bien avouer que la miniaturisation des composants, les capacités de communication aidant, tous les développeurs cherchent à exploiter cet important réservoir de consommateurs que nous sommes, même si nous sommes encore que 9.6% (*) en France (mais 15.6% aux Etats-Unis, 12.9% en Angleterre, sans oublier 106 millions d’Indiens et 85 millions de chinois qui utilisent déjà leurs mobiles qui utilisent cet appareil pour se connecter à Internet.

Une des dernières initiatives en ce sens est celle de Nokia, associé à Lonely Planet qui distribuent maintenant des guides touristiques de villes via Nokia Maps. Cela permet ainsi aux voyageurs de disposer dans leur poche d’une montagne d’information pour à peu près la moitié du prix d’un ouvrage, un téléchargement étant facturé actuellement 8 €.

Avec une centaine de destinations disponibles dès le lancement, Nokia Maps et Lonely Planet frappent un grand coup.

Jean-Claude MORAND

Crédit photo : Nokia
(*) Source Nielsen Mobile http://www.nielsenmobile.com/html/pressreleases/BRICCountries.html

(C) Jean-Claude MORAND

Un système de réservation en ligne pour 3% de commission

Booking.com propose un nouveau service de réservation intégrable au site Internet des hôtels

Depuis le 21 août, Les hôtels partenaires de Booking.com peuvent désormais intégrer un outil de réservation directe sur leur propre site Internet. Aucuns frais d’enregistrement ni frais annuels ne sont facturés pour ce service : seule une commission de 3 % est demandée par réservation.

Le nouveau « Booking Button » est un moyen simple et peu onéreux qui permet aux hôtels partenaires de Booking.com d’incorporer un outil de réservation directe sur leur propre site Internet. Ce service est très abordable car aucuns frais d’enregistrement ni frais annuels ne sont facturés. Seule une commission de 3 % est demandée par réservation.

Le « Booking Button » connecte le site Internet de l’hôtel au système de réservation de Booking.com. « Cette solution est particulièrement adaptée aux hôtels indépendants et aux chaînes qui, jusqu’à présent, pouvaient traiter les demandes de disponibilités uniquement par e-mail ou par téléphone » explique Martin Lamme, Project Manager Hotels, qui est responsable du développement de cet outil. Il poursuit : « Toute personne qui recherche un hôtel en ligne et qui le réserve s’attend à recevoir immédiatement une confirmation de réservation, même de la part des petits établissements. »

Le « Booking Button » est disponible en sept langues et six modèles
Le « Booking Button » est disponible en six couleurs et modèles différents. Lorsqu’une demande de réservation est effectuée, le site Internet de l’hôtel identifie toutes les options disponibles dans l’établissement par l’intermédiaire du système de Booking.com. «

» déclare Kamal Bounajma, Managing Director Booking.com France. Grâce à cet outil de réservation, les clients se voient offrir beaucoup plus d’options que ne le pourraient les hôtels de petite taille en direct. Les hôtels peuvent désormais proposer aux visiteurs de leur site Internet un nouveau système de réservation disponible en sept langues. Le contenu est actuellement disponible en allemand, anglais, espagnol, français, italien, néerlandais et polonais. D’autres langues seront ajoutées au fur et à mesure.

Il est très facile d’obtenir votre propre outil de réservation en ligne :
Les hôtels partenaires de Booking.com qui souhaitent incorporer un outil de réservation en ligne sur leur site Internet n’ont qu’une chose à faire : aller sur http://bookingbutton.booking.com et suivre les instructions très simples qui y sont données.

Voici quelques exemples d’hôtels qui travaillent déjà avec le Bouton Booking :
Hotel 1
https://bookingbutton.booking.com/wl/servlet/booking/index.do?hotelid=84735&trkref=OWN
Hotel 2
http://www.brook-hotels.com/
Hotel 3
http://www.leshotelsderive.ch/index2.php?id=1032
Hotel 4
http://www.pension-absolutberlin.de/11.html

Mots clés Technorati : reservation,hotel,booking.com
(C) Jean-Claude MORAND