Un bon mix entre tradition et modernité : la Suisse

J’aime beaucoup cette publicité pour les villes suisses. Un clin d’oeil décalé. Qu’en pensez-vous ?



Si vous voulez en savoir plus sur les techniques adoptées par nos amis helvètes, réservez votre journée du 2 décembre 2011 pour le Tourism Professional Meeting à Sierre. De nombreuses conférences vous permettront de mieux comprendre les techniques de mise en marché des produits touristiques.

(C) Jean-Claude MORAND

Quand Greenpeace joue avec la viralité, ils ne font pas les choses à moitié.

 

GreenPeace fait encore une fois un coup médiatique intéressant. Au delà du problème mis en évidence (la déforestation), je trouve l’approche virale (82150 vues de la version française en 2 jours !) réussie. Vous remarquerez qu’à la fin de la vidéo, vous êtes invité à rejoindre le site de l’association écologique…mais en fait vous arrivez sur un onglet dédié à cette opération sur leur page Facebook. Vous avez bien entendu la possibilité de rejoindre les 84181 personnes qui ont taggué cette page avec  un “J’aime” (le 9 juin à 12h) et bien entendu ceci ce répercute sur votre mur Facebook.  

Maintenant que cette vidéo invite Mattel à changer son emballage, je suis curieux de découvrir comment cette entreprise va gérer la communication de crise et répondre à ce buzz qui va vraisemblablement avoir un impact sur leur chiffre d’affaires. Vont-ils prendre en compte ce message ? La vidéo va t’elle se diffuser à l’international ? Si vous avez des information de cas marketing avant moi, n’hésitez pas à publier commentaire.

(C) Jean-Claude MORAND

On est trahi que par ses “amis”

L’adage est bien connu nous pouvons être trahis que par nos amis surtout lorsque ceux-ci appartiennent à la communauté Facebook et qu’ils ignorent la portée de leurs actions. Il en est ainsi d’une multitude d’applications qui vous promettent de découvrir qui a consulté votre page ou ce que l’on dit à votre sujet. Ces derniers jours, mon mur a reçu plusieurs messages de ce style.

Notre curiosité nous incite à cliquer pour accepter cette offre. Offre qui suppose que vous acceptiez d’installer dans votre environnement Facebook une application. Ci-dessous dans mon exemple l’application « Simply the Truth » demande une autorisation d’installation et me demande également d’accepter la politique de confidentialité. Combien d’entre vous ont-ils survolé ou lu ces conditions de confidentialité ?

Je vous invite donc à prendre cinq minutes pour visiter les paramètres de confidentialité de votre compte (en haut et à droite de votre page FB).

 

Ensuite en bas et à gauche, vous trouverez les conditions applicables aux applications et c’est là que cela devient intéressant. N’hésitez pas à cliquer sur « Modifier les paramètres »

Vous trouverez une liste de toutes les applications que vous avez plus ou moins consciemment acceptées depuis la création de votre profil.

Dernière étape de mon exemple après avoir une nouvelle fois cliqué sur « Modifier les paramètres » d’une application de votre choix, vous découvrirez peut être que celle-ci accède en toute légalité et avec l’accord que vous aviez donné à de nombreuses informations. Ainsi une application aussi banale que Slideshare accède non seulement à toutes mes informations mais également à celles de mes « amis » comprenant les « Anniversaires, Opinions religieuses et politiques, Membres de la famille et situation amoureuse, Détails des proches et autres amis importants, Villes de résidence, Villes actuelles, J’aime, musique, TV, films, livres, citations, Activités, Intérêts, Parcours scolaire, Parcours professionnel, Présence en ligne, Sites web, Groupes, Évènements, Articles, Photos, Vidéos, Photos et vidéos d’eux, Détails « À propos de moi » et Statuts Facebook »

Avec l’espoir que cette démonstration vous incite à la prudence la prochaine fois que vous partagerez une application avec vos amis.

Jean-Claude MORAND – 16/5/11

(C) Jean-Claude MORAND

Maximiser la recherche payante : d’un meilleur taux d’acquisition à une rentabilité accrue.

COREMETRICS (IBM) vient de publier un livre blanc qui a retenu mon attention. Ses auteurs prodiguent quelques conseils intéressant pour la gestion des campagnes de PPC

Vos programmes de recherche payantes sont-ils en perte de vitesse ? Si la hausse des coûts, la complexité accrue et les enchères concurrentielles en réduisent la rentabilité, le moment est venu de passer du simple outil de suivi du coût par clic à une solution complète de gestion du coût par clic sur plate-forme.

Ce Livre blanc vous apprendra à optimiser chacune de vos campagnes de recherche payante pour atteindre vos objectifs d’acquisition, de persuasion et de conversion. Il vous donnera des conseils d’expert pour booster vos résultats, courtiser les prospect et séduire les clients à plus fort potentiel.

Télécharger le Livre blanc ››

(C) Jean-Claude MORAND

Le Club des mentors de e-sens–HEC Genève

 

e-sens est une création des participants et des formateurs du Diplôme de formation en emploi de «Stratégie marketing, communication et e-business» d’HEC Genève dirigé par le Professeur Michèle BERGADAA.

Ce enseignement et cette recherche-action permanente est menée par une équipe d’intervenants sans cesse renouvelée, permet aujourd’hui à e-sens de constituer une véritable source d’information fiable dans le domaine de la e-communication et de la veille technologique. Comprendre l’impact de l’avènement du Web 2.0, tel est l’objectif d’e-sens.

En plus des intervenants issus des meilleures universités et d’entreprises du secteur, un club de mentors à été créé. Ces experts mettent leurs compétences à la disposition des étudiants de ce diplôme en fonction des besoins de la rédaction des dossiers mensuels.

Club des mentors d’e-sens

Les membres du Club des mentors de e-sens sont cooptés sur base de leur expérience confirmée dans leur champ d’activité.Ses membres ont aussi pour rôle de proposer les axes de développement prospectif qui se dégagent en matière de technologies Web et constituent les thèmes d’investigation annuels que traitent les étudiants-rédacteurs dans les dossiers de e-sens.

Ils rencontrent deux fois par an pour débattre ensemble des évolutions en matière de « Société et individu », « Economie et finances », « Organisation et Knowledge management », « Technologie ».

Les membres actuels du Club des mentors de e-sens sont :

  • Jean-Max Arbez
  • Pierre-Jean Benghozi
  • Philippe Gendret
  • Jean-Claude Morand
  • Philippe Mottaz
  • Sylvain Paillard
  • Alexandre Wehrlin

Après avoir apporté en plusieurs occasions mon témoignage aux étudiants de ce diplôme de l’Université de Genève, je suis fier aujourd’hui d’avoir été coopté dans ce club.

Je me réjouis de pouvoir me mettre au service des personnes qui ont la volonté d’acquérir de nouvelles connaissances dans ce domaine passionnant qu’est l’économie numérique. Cela sera pour moi une opportunité supplémentaire d’apprendre à leur contact et d’orienter leurs recherches.

Ayant fait une grande partie de mes études universitaires en parallèle à ma vie professionnelle, j’ai aussi une grande motivation pour soutenir l’action de ceux qui font l’effort de se former tout en devant assumer leurs responsabilités familiales et professionnelles.

Cette forme de collaboration est aussi un modèle de collaboration entre les universités et les entreprises.

Jean-Claude MORAND – 04/04/11

(C) Jean-Claude MORAND

3 actions pour éviter que Google s’accapare votre trafic

30/3/11 – Je viens de trouver une analyse de Cathy Halligan sur l’évolution de la stratégie de Google en direction du e-Commerce sur Clikz.com que je vous laisse découvrir en version originale en anglais en suivant ce lien. Les auteurs démontrent que la société de Mountain View se contente de moins en moins d’accumuler des revenus en provenance des annonces CPC (coût au clic) et cherche aussi à tirer profit de son énorme audience pour générer des recettes en CPA (coût par action), c’est-à-dire des réservations ou des ventes.

Face à cette stratégie les entreprises doivent être conscientes qu’il leur appartient de définir leur propre stratégie et qu’elles doivent bien entendu profiter du trafic de visiteurs généré par les moteurs de recherche mais aussi continuer à maintenir leur présence en ligne.

 Cathy Halligan propose 3 actions dans son article que j’adapte ci-dessous :

1. Développer votre marque : La pertinence de votre différenciation, l’adéquation de votre offre avec les besoins de vos cibles, la multiplication des interactions restent les meilleures tactiques pour générer du CA que cela soit en ligne ou offline.

2. Servir mieux que toute autre organisation les prospects : Vendeurs, produits, prix doivent être facilement accessibles de même que le stock réellement disponible, le processus d’achat et la rapidité de livraison sont des éléments clefs. Bien entendu la qualité des produits, le niveau d’innovation sont aussi des atouts.

· Offrez des produits et services qui correspondent aux attentes et besoins de vos cibles de prospects. Assurez-vous que vos pages web présentent uniquement les produits disponibles en stock avec des prix clairement indiqués. Les appréciations et évaluations des clients précédents sont de plus en plus appréciées. Si vous n’avez pas de boutique en ligne, utilisez les places de marché tel qu’Amazon, Ricardo.ch, PriceMinister, eBay,…

· Optimisez votre présence en ligne pour que vos prospects puissent trouver votre offre facilement. En général, ils cherchent une réponse à un problème ce qui est différent d’une recherché d’un produit ou service.

· Après avoir dépensé beaucoup d’énergie pour attirer les prospects sur vos pages, ne les laissez pas repartir aussi facilement. Pensez à les inviter à passer à l’action en leur proposant un bouton « réservez maintenant » ou « ajouter à mon panier » pour autant que vous ayez du stock disponible.

· Proposez plusieurs alternatives pour la livraison et la commande en ligne, dans une boutique, un point de livraison relais. Beaucoup de consommateurs ont encore peur d’acheter en ligne, il s’agit de les rassurer.

· L’usabilité est une nouvelle approche de gestion des interfaces homme-machine (ici un écran). L’expérience d’achat en ligne doit être positive c’est-à-dire rapide, en quelques clics.

3. Augmentez la quantité et la qualité des évaluations de clients. Que vous aimiez ou pas, nous sommes de plus en plus des consoActeurs et nous accordons plus de confiance aux avis fournis par nos pairs qu’aux promotions des fournisseurs.

· Dans ces conditions, il vous appartient de rechercher un maximum d’avis et de concevoir un processus de collecte des avis afin qu’ils soient récents et à jour.

· La prise en compte des nouveaux outils (Smartphones, Tablettes,…) nécessite des interfaces adaptées. Les avantages, inconvénients et évaluations moyennes de vos offres doivent pouvoir facilement consultables sur ce type d’outils. La consultation des sites se fait de plus en plus fréquemment, y compris lorsque le client est dans votre boutique ou votre établissement.

· Google favorise les contenus générés par les utilisateurs (UGC) dans la présentation des résultats des recherches. Assurez-vous que vous ayez au moins une source de contenu généré par les utilisateurs avec les mots clefs qui puissent être indexés par Google.

· Les consommateurs partagent de plus en plus les évaluations sur les réseaux sociaux, en particulier sur Facebook. Il est donc, actuellement, essentiel que vous ayez sur toutes vos présentations de produits en ligne un bouton de partage et/ou de connexion sur Facebook. Notons qu’il ne s’agit pas uniquement des pages web, mais aussi des emails souvent transférés à des amis et des billets de blogs.

· Facebook Storefronts comprend des évaluations de clients. Assurez-vous que votre contenu soit publié avec un système qui soit compatible avec différentes formes de syndication sur le web dont Facebook.

Storefront Social

Source  image : sitepoint.com

Mots clés Technorati : #emarketing #ucg #stratégie #etourisme
(C) Jean-Claude MORAND

Les hôtels jettent l’argent par les fenêtres avec la publicité sur les média sociaux

« Les hôtels jettent l’argent par les fenêtres avec la publicité sur les média sociaux » ; ce n’est pas encore mon affirmation, mais celle Glenn FOGEL, le patron mondial de la stratégie et du planning de Priceline. Une traduction des propos qu’il a tenus lors d’une conférence à Sidney. Il a même été un peu plus radical en qualifiant les experts en média-sociaux de « charlatans ». En lieu et place de perdre de l’argent en investissant dans de la pub sur les médias sociaux les entreprises doivent améliorer leur présence sur ces médias aurait déclaré le dirigeant de Priceline selon un article de Travel Weekly.

Je n’avais pas encore lu cet article lors d’une interview récente que j’ai accordée à une journaliste de l’agence de presse genevoise LargeNetwork qui doit publier un article sur ce thème dans la revue Hémisphère (un nouveau magazine édité par les Hautes Ecoles spécialisées de Suisse) en mai prochain. Je lui ai fait à peu près la même déclaration en adoptant un ton beaucoup plus diplomatique. En effet, je m’interroge quant à la pertinence de l’utilisation actuelle des réseaux sociaux par les acteurs du tourisme et de l’efficacité de leurs actions. Je ne suis pas du tout certain que le retour sur investissement soit au rendez-vous. Si je me trompe, je serai très heureux de prendre connaissance des réussites enregistrées à ce jour. N’hésitez donc pas d’apporter vos commentaires. Je m’engage, après vérification à publier les résultats de ces réussites pour augmenter le buzz.

Cela dit, je vois une nouvelle opportunité avec la possibilité d’inclure un moteur de réservation au sein de pages Facebook, mais cela reste encore une exception. La chaine Starwood l’a fait en bas de sa page « Starwood Prefered Guest » plutôt bien réussie grâce à une programmation FBML. L’illustration ci-dessous est un autre exemple de cette approche. Le Bolongo Bay Beach Resort dans les Caraïbes annonce un taux de conversion (y compris les consultations sans réservation effective) sur sa page Facebook proche de celui de son site web.

Du côté français, la société AVAILPro a annoncé le 1er mars dernier une offre de moteur de réservation pour FaceBook. Selon les dirigeants de cette société «Facebook va permettre aux hôteliers de pouvoir convertir directement les fans de leur page et leurs amis en acheteurs. Une étude Nielsen Brandlift a révélé que l’intention d’achat était multipliée par 4 sur Facebook par rapport à un média classique*. » Une première mise en œuvre a été faite pour quelques hôtels dont l’hôtel California à Paris. Il sera intéressant de suivre les résultats de cette page qui ne comporte (le 26/3/11) que 252 amis. Car je considère que la réussite d’une stratégie de ce type passe avant tout par la création et l’animation d’une véritable communauté d’intérêts. Je m’en expliquerai devant les membres de Valais Tourisme le 1er juin à l’occasion de l’assemblée générale annuelle de ce groupement à Martigny.

N’hésitez pas utiliser les commentaires pour me communiquer votre avis, vos expériences personnelles en ce domaine.

Jean-Claude MORAND 26/3/11

* Source : Nielsen Etude Brandlift sur Facebook – avril 2010

(C) Jean-Claude MORAND

e-Business et vol de données : cela arrive même au plus gros !

 

24/3/11 – A quelques minutes d’intervalles je reçois deux messages traitant de problèmes de sécurité. Le premier vient de TripAdvisor qui déclare s’être fait voler sa base d’emails. Surprenant pour une entreprise de cette importance.

Ensuite c’est la Caisse d’Epargne qui est victime d’un spoofing grossier, mais spoofing quand même l’expéditeur utilisant un compte Yahoo.

Comme quoi la sécurité des systèmes e-Business doit être une préoccupation permanente de tous les gestionnaires de projets petits ou grands. 

(C) Jean-Claude MORAND

Combien de SIT faut-il à la France ?

Dans son dernier billet sur etourisme.info, Pierre Croizet se pose la question de l’avenir des Systèmes d’Information Touristique (SIT) et publie la cartographie des systèmes existants en France. Certes l’inventaire demande à être affiné mais l’absence de systèmes pour certains CRT et l’hétérogénéité des systèmes existants est flagrante.

Source : Pierre CROIZET – www.etourisme.info – 23/3/11
Philippe FABRY, en charge des nouvelles technologies chez ATOUT France se propose de compléter et mettre à jour ce tableau (donc retournez voir si une nouvelle version est publiée si vous lisez ce message quelques semaines après sa publication).
Pour ma part, voilà au moins une dizaine d’années que je prône une approche globale des SIT au niveau français. J’ai proposé :
  • la création d’un pôle de compétitivité “Tourisme”,
  • d’inclure les NTIC dans le programme des activité de l’IFT,
  • à un CRT de répondre à un appel à projet du grand emprunt pour créer quelque chose comme GIATA (mentionné plus haut)
  • et encore plus récemment d’inclure une composante e-Tourisme dans le cadre du futur Conseil National du Numérique…
Mais comme mes capacités d’influence sont actuellement limitées, je crains qu’il faille attendre que notre pays soit doté d’un Ministre du Tourisme “branché” pour que cela évolue.
Je mets une réserve à mon propos avec la création de “Newco” dont une partie de l’activité serait de créer ou d’adapter une norme (je ne connais pas la mission de cette entreprise).
Je finirai en insistant pour que tout projet de création ou de mise à jour de « norme » ait une dimension internationale car les utilisateurs sont majoritairement les intermédiaires étrangers.
En publiant ce billet sur mes deux blogs, j’espère attirer l’attention des élus qui me lisent pour qu’ils prennent la mesure de l’importance du sujet. Car sans un SIT (ou au moins des données coordonnées au niveau national) la France aura de plus en plus de mal à être visible sur les systèmes d’information des pays émetteurs c’est-à-dire ceux qui génèrent 76 millions de visites chaque année sur notre territoire.
(C) Jean-Claude MORAND

L’EHL et la « Société Paris-Lausanne » lancent le premier concours franco-suisse de l’innovation pour le secteur de l’accueil

Je relaye ci-dessous l’annonce d’un concours organisé par l’Ecole Hôtelière de Lausanne qui peut intéresser quelques uns de mes lecteurs du secteur du tourisme ou mes étudiants.

Si un projet régional (en gros les Savoie) devait être présenté, je rappelle que Savoie-Angels se propose toujours d’apporter des fonds propres pour des montants compris entre 100 et 500 K€.


Réaffirmant son leadership et son rayonnement dans le secteur de l’accueil et dans les milieux économiques européens, l’EHL a inauguré la « Société Paris-Lausanne » le 14 octobre 2010 à l’Ambassade de Suisse à Paris.
Forte d’un large réseau Alumni en France, l’EHL a décidé d’y renforcer ses positions en créant la « Société Paris-Lausanne », dont l’objet est de consolider et développer les relations économiques entre la Suisse et la France.

Pour ce faire, la « Société Paris-Lausanne » s’appuie sur un Comité constitué de personnalités du monde de l’accueil et des milieux économiques, parrainé par M. Paul Dubrule, cofondateur du groupe Accor et par M. Claude Béglé, Directeur général de SymbioSwiss. Ce comité est également composé de M. Alain Catta, Ambassadeur de France en Suisse, de Mme Geneviève Bertrand, Conseillère de Paris, de M. Michel Rochat, Directeur général de l’EHL, de M. Antoine Wasserfallen, Professeur à l’EHL, de M. Ugo Toselli, Associé chez Eco2Initiativeet de M. Pierre Epars, Directeur du Domaine Bâtiments & Energie de BG Ingénieurs Conseils.

En remettant chaque année le « Prix Paris-Lausanne » décerné par son Comité, la « Société Paris-Lausanne » consacre le projet le plus innovant porté par une entreprise ou un entrepreneur.

L’EHL ayant fait du Développement Durable et de la Responsabilité Sociétale sa « couleur » académique de l’année 2010-2011, la première édition du « Prix Paris-Lausanne » récompensera le projet le plus novateur dans cette thématique phare pour le secteur de l’accueil.

Les trois meilleurs projets retenus seront présentés par les candidats eux-mêmes lors la cérémonie de remise des prix qui se tiendra le 13 octobre 2011 à l’Ambassade de Suisse à Paris. Le Comité remettra à cette occasion le « Prix Paris-Lausanne » à l’entreprise ou l’entrepreneur gagnant : une étude SBP, le Student Business Project soutenu par l’Institut d’Entrepreneuriat et d’Innovation de l’EHL (INTEHL), permettant de mener le projet jusqu’à sa réalisation, offerte par BG Ingénieurs Conseils.

Par ailleurs, les étudiants de l’EHL qui remporteront le prix de l’étude SBP 2010 seront invités à présenter leurs résultats lors de cette même soirée.

Les étudiants de l’Ecole hôtelière de Lausanne (EHL) viennent du monde entier pour apprendre l’art du management dans le secteur de l’accueil. Ayant acquis un large éventail de connaissances et de compétences, ils sont les talents, les leaders de demain du secteur de l’accueil ainsi que de bien d’autres secteurs économiques.

Les entreprises et entrepreneurs souhaitant concourir au « Prix Paris-Lausanne » peuvent d’ores et déjà se préinscrire en ligne.

La date limite de remise des dossiers est fixée au 30 juin 2011.

(C) Jean-Claude MORAND