TRAVELOCITY lance un outil d’évaluation des hôtels en fonction des comportements des voyageurs

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Mots clés Technorati : TRAVELOCITY, Travel 2.0, UGC, comportement

Depuis qu’il ait été le premier site de voyager à donner la possibilité aux utilisateurs de l’enregistrer une évaluation des prestataires, il y a six ans, Travelocity a vu sa croissance de popularité augmenter en permanence au point qu’il est considéré maintenant un comme une ressource incontournable pour les personnes qui recherchent un hôtel aux Etats-Unis. Jusqu’à présent, malgré l’addition de fonctionnalités, aucun système ne prenait en compte les goûts ou les intérêts des voyageurs. Pour satisfaire les attentes des consommateurs, avant et après un voyage, TRAVELOCITY lance un nouvel outil d’évaluation des hôtels qui apporte une solution à ce problème en aidant les clients à trouver des les informations qu’ils recherchent en privilégiant les aspects qualitatifs des choix.

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Ce nouvel outil donne aux voyageurs la possibilité de trier les évaluations des dizaines de milliers de revues en prenant en compte la catégorie à laquelle ils appartiennent qu’il soit une famille, un couple avec ou sans jeunes enfants, avec des adolescents, des voyageurs avertis, une femme seule, un groupe d’amis, avec des handicapés, accompagnés d’animaux domestiques ou simplement des vacanciers ordinaires ou des voyageurs d’affaires. Avec ce lancement « Nous faisons avancer le concept de génération du contenu par les utilisateurs (UGC) à un niveau supérieur », déclare Noreen HENRY, Vice President des hôtels et du packaging de Travelocity. Ainsi, « les voyageurs n’ont plus besoin de surfer des heures sur le Web pour chercher des opinions crédibles et adaptées à leurs besoins – notre outil de revues des hôtels satisfait leurs besoins. »

L’outil mis en œuvre inclut une revue des évaluations proposées selon l’intérêt et les besoins de chaque voyageur. Celui-ci créer un profil personnalisé au début du processus. Il contribue ainsi à enrichir les évaluations en fonction de critères qui lui semblent importants.

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Par exemple un voyageur à mobilité réduite de peut fournir des commentaires sur l’accès en chaise roulante. Ceux qui détiennent des animaux domestiques pourront enrichir les revues de la qualité de l’accueil qui leur a été réservé avec leurs compagnons de voyage. En adressant ce défi d’authenticité et de pertinence, le processus de qualification garantit aux clients de Travelocity une information beaucoup mieux adaptée à leur contexte de voyage. En testant le système, j’ai noté avec intérêt que les évaluations ne pouvaient être faites qu’après avoir suivi cinq étapes. Dès le deuxième écran, nous sommes invités à saisir nos coordonnées et la date d’un séjour, l’anonymat de l’évaluateur pouvant être préservé au moment de la publication. Cette mesure doit inciter les internautes à ne pas tomber dans la calomnie gratuite et aux concurrents à s’abstenir de venir critiquer des établissements. Gageons que cela peut effectivement contribuer à recueillir des avis honnêtes, mais la longueur de la procédure doit décourager plus d’un contestataire. Ceci ne m’a pas empêché de compléter le questionnaire avec une fausse identité… reste à savoir si mon avis est modéré ou pas.

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De mon point de vue, la multiplication des informations disponibles sur Internet induit également un changement de comportement des voyageurs. Ceux-ci semblent apprécier de pouvoir sélectionner leurs hôtels en fonction d’une recherche multicritères. Dans le cas de TRAVELOCITY, ce sont 16 éléments qui sont pris en considération tant pour la sélection que pour les évaluations. Cette évaluation s’étend aux restaurants à proximité, les événements et les activités annexes. D’autres OTA vont sans aucun doute emboîter le pas de ce leader de l’industrie sachant que des société comme GIATA dispose de grilles de collection de l’information sur une centaine de critères mis à disposition sous forme de données au format XML, il n’est pas si compliqué de concevoir des outils de recherche multicritères et de donner la possibilité aux évaluateurs de formuler une opinion pour chacun de ceux-ci.

Les professionnels qui ont intégré une démarche qualité dans la gestion de leur établissement perçoivent cette démarche comme un atout. « Nous sommes satisfaits de travailler avec une société qui offre des possibilités d’évaluation acceptable et conviviale de nos établissements. » déclare ainsi Andrew RUBINACCI, Vice President distribution marketing EMEA pour le groupe des Hotels Intercontinal. « Travelocity offre un processus de recherche à jour pour la recherche d’évaluations des utilisateurs qui est profitable pour l’ensemble de nos clients qui disposent maintenant de pouvoir réellement se familiariser avec nos établissements avant leur arrivée. »

Ce texte est une traduction adaptée d’un communiqué de presse de Travelocity disponible sous http://www.hotelmarketing.com/index.php/content/article/070809_travelocity_launches_new_hotel_review_tool/

Jean-Claude MORAND – Cyberstrat.net

(C) Jean-Claude MORAND

3ème rencontres du e-Tourisme institutionnel

Ludovic Dublanchet nous en dit un peu plus à propos des 3ème renoncre du e-Tourisme Institutionnel dans un billet publié sur le site etourisme.info. Vous pouvez d’ores et déjà le consulter sur le blog des Rencontres. Ces rencontres commenceront lundi 19 novembre en début d’après-midi avec un atelier de réflexion sur les Mondes Virtuels et le Web3D, l’occasion de découvrir SecondLife et autres mondes peuplés d’avatars, avec notamment David Castéra et Fabrice Tron, deux des pionniers parmi les sociétés pouvant vous accompagner dans ces nouvelles dimensions. Un large moment consacré aux échanges suivra, avec également un speed dating sur des innovations et produits. En soirée, à la Cité de l’Espace, cinq Trophées du etourisme institutionnel seront remis :

1) meilleur site de CRT,
2) de CDT,
3) d’OT 4*,
4) meilleure “Performance et Disponibilité” (avec les analyses de la société IP Label)
5) et enfin, une nouveauté, le Trophée 2.0. ( NDLR : Voilà une initiative que j’apprécie particulièrement !)

Le mardi 20 novembre fera place à deux présentations plénières consacrées aux attentes des internautes, et à deux séries de cinq ateliers, de l’ergonomie aux aspects juridiques, en passant par l’e-volution des métiers, les services 2.0 ou l’information en mobilité. Les inscriptions en ligne seront ouvertes à la rentrée, mais notez d’ores et déjà la date sur vos agendas.

Jean-Claude MORAND

(C) Jean-Claude MORAND

A barcamp pour anticiper l’impact des TIC sur Tourisme

L’importance des TIC modifie en profondeur le comportement des candidats au voyage et en conséquence les modes de distribution des produits touristiques. Une discipline « eTourisme » se développe avec pour objectif d’étudier les interactions entre les évolutions [rapides] des technologies et des nouveaux concepts de marketing avec les différents éléments de la supply chain du tourisme. Alors qu’en France, ce secteur de l’économie représent 6.7 % du PIB, ont peut comprendre que toute modification en profondeur des modes opératoires devienne stratégique, surtout lorsque les nouveaux distributeurs ne sont plus des acteurs nationnaux. Pour de nombreux prestataires touristiques, il existe un potentiel énorme pour gagner des parts de marché ou simplement instaurer une situtation de compétitivité avantageuse en exploitant les concepts du Web 2.0 en particulier toutes les applications ayant recours aux contenus générés par les utilisateurs connues sous le terme de « User Generated Content » (UGC).

Le processus d’adoption semble pour une fois inversé, l’adoption de ces innovations étant en premier lieu celui des utilisateurs (bottom-up). Avec des taux de pénétration du Broadband (ADSL, Cable,…) supérieur à 50% dans la majorité des pays industrialisés, nous sommes de plus en plus nombreux à partager nos photos, vidéos, et expériences de voyage sur le Net. L’aptitude des consommateurs à utiliser les TIC pour préparer et réserver un voyage semble être bien meilleure que celle de la grande majorité des acteurs du monde touristique qui se sent beaucoup plus à l’aise devant le piano de leur cuisine que le clavier de leur ordinateur. Quoi de plus normal pour une industrie où la taille des entreprises dépasse rarement 10 employés nécessitant donc que le patron soit avant tout un professionnel de la restauration et l’hôtellerie avant d’être un geek. Reste, que la problèmatique de la mise en marché et de la génération de la demande fait aussi partie des défis de la gestion hôtelière. Face à des Expedia, Oppodo, Tripadvisor ou d’autres sites d’évaluations collaboratives, la pertinence des premiers sites web 1.0 et des guides touristiques de la presse écrites devient un élément de l’histoire de l’économie touristique. Les consoacteurs que nous sommes prennent le pouvoir et nous contribuons à changer la donne des réseaux touristique.

Pour faire le point du développement de ces techniques que je regroupe sous le terme « Travel 2.0 », l’ Université deLugano (Tessin – Suisse) organise un Barcamp le 3 novembre 2007. Les organisateurs de cette manifestation nommée eTourCamp se donnent pour objectif de partager les opinions des innovateur de la première heure, de mieux comprendre les tendances actuelles dans le domaine des TIC pour le Tourisme.

La promotion de cet eTourCamp est assurée par webatelier.net et NewMinE un laboratoir de l’ Universy of Lugano ainsi que Sketchin.

Si vous ne connaissez pas la magnifique ville de Lugano je vous invite à visionner un présentation sur LonelyPlanet.tv

Jean-Claude MORAND

(C) Jean-Claude MORAND

Amélioration en cours…

Mis à jour le 25/7/07
Blogger offre de nouvelles possibilités d’édition depuis quelques semaines… L’interface recours à des fonctions AJAX qui permet d’ajouter de changer facilement la présentation du blog au moyen de widgets et de les positionner sous forme de copier/coller.

Je n’avais pas encore transposé le contenu de ce blog sur leur nouveau système. Je suis en train de le faire. Malheureusement, cela suppose une mise à jour des enregistrement DNS dans la mesure où ils se proposent d’héberger un mini site qu’ils nomment « domaine personnalisé ». Pour cela la fonction CNAME (*) du DNS serveur doit être modifiée pour faire un lien sur les serveurs de « ghs » de Google et seulement quelques hébergeurs donnent cette possibilité. Le mien ne l’accepte pas !… je doit donc utiliser Blogspot et inclure une redirection dans la page de mon site.

(*) CNAME record ou canonical name record qui permet de faire d’un domaine un alias vers un autre. Cet alias hérite de tous les sous-domaines de l’original. – Extrait de Wikipedia.org

Jean-Claude MORAND

(C) Jean-Claude MORAND

Un blog doit-il être vraiment considéré comme une source de Chiffre d’affaires ?

Stéphane THOMAS dans son blog Simplentreepreneur.com se lance dans une approche des revenus de la blogosphère française. Article intéressant dans la mesure où il nous livre au moins partiellement quelques chiffres des chiffres d’affaires réalisés principalement en provenance des insertions publicitaires inclus dans les blogs qui varient pour ceux cités entre 6000 et 2000 Euros pour les plus importants. A juste titre le débat porte également sur le transfert du lectorat de la lecture des blogs proprement dit, c’est-à-dire que cela suppose que chaque visiteur saisisse dans son navigateur l’URL du site, aux flux RSS. Ces derniers présentent l’énorme avantage de pouvoir être automatiquement identifiés par les agrégateurs de flux…. Mais en matière de chiffre d’affaires publicitaire ils sont aussi un frein car le nombre d’impressions (et donc de clics potentiel) chute dramatiquement. C’est ainsi le cas de Fred Cavazza qui souligne, dans un billet de réponse, que « la fréquentation de mon blog est en baisse progressive depuis le début de l’année pour se stabiliser autour des 4.000 visiteurs uniques par jour. Pourquoi ? Probablement parce qu’il y a un transfert des lecteurs web vers le flux RSS (plus de 15.000 abonnés). » . Dans ce même billet, Fred indique qu’il se refuse à monnayer son blog et je partage ce point de vue car il me semble, en tout cas pour le marché francophone, la publication de news sous cette forme ne peut-être que l’un des éléments d’un communication mix et marginalement une source de chiffre d’affaires.

Tout comme le souligne Fred, l’aspect quantitatif du lectorat est certes un élément important mais ne doit pas occulter la qualité de l’audience ciblée et surtout les objectifs stratégique que l’on entend atteindre en publiant sur le Net.

· Le branding, la notoriété
· Génération de la demande (ex: susciter des demandes de consulting)
· Information sur les sociétés, produits et services (ex : Product change notifications, nouveaux produits)
· Contribution au Search Engine marketing
· Elément de la stratégie des Relations Publiques (ex : communiqués de presse)
· Gestion de la relation client (ex : un blog destiné à un segment de clients spécifique)
· La gestion des événements (ex : en support à une conférence d’envergure)
· La publication des nouveaux jobs (ex :
Jobmeeters, Altaïde,… et presque toutes les agences de recrutement maintenant)
· Un blog pour tester les nouvelles idées, la veille et recueillir des avis de client.
Ne soyez donc pas frustré si vous ne gagnez rien avec Adsense, une régie ou toute autre forme de publicité. Votre blog peut vous servir à bien d’autres choses… avec Aref JDEY nous avons publié une liste de 101 applications du RSS (souvent lié aux blogs) qui peuvent vous donner d’autres idées pour tenter de rentabiliser votre connaissance des ces systèmes et standards de publication. Vous les trouverez dans la deuxième édition de notre livre « RSS, blogs : un nouvel outil pour le management »

Jean-Claude MORAND – Cyberstrat

(C) Jean-Claude MORAND

Modification "graphique" des itinéraires sous Google Maps

Depuis plusieurs mois, je cherche une solution qui puisse introduire un layer sur une carte pour indiquer un intinéraire de manière simple et sans avoir à investir dans un système de gestion des données cartographiques. Pour l’instant le meilleurs système que j’ai pu identifier est Everytrail.com mais il présente l’inconvénient de devoir connaitre les coordonnées GPS (Latitude et longitude) de chaque point d’intérêt (POI). Cette formule à l’avantage d’être trés précise mais n’est pas forcément adaptée à la description d’itinéraires comme je le fais dans un autre blog dedié à la randonnée (http://randos.blogspot.com/ ). Il semble en revanche que l’avancée technique proposée par Google soit un mouvement intéressant dans cette direction, même si pour l’instant la solution « drag & drop » ne soit proposée pour les itinéraires routiers sous Google Maps. La vidéo ci-dessous (en anglais) vous permettra d’en savoir plus et le mieu est tout simplement d’essayer de modifier un itinéraire de votre choix.
J’ai essayé avec des trajets entre la France et la Suisse… cela marche !. Je trouve aussi que cette solution ouvre de nouveaux débouchés pour Google mais aussi pour les annonceurs qui trouvent ainsi un moyen de mettre en valeur leurs services à proximité d’un itinéraire qu’un utilisateur créé pour planifier par exemple un circuit touristique. Je l’ai ainsi fait pour le Tour du Lac d’Annecy, une région que je vous invite à visiter 🙂 essayez en visitant l’URL de la page ainsi créée. La version testée permet d’afficher sur l’itinéraire, les hôtels inclus dans la base de données de booking.com
C’est aussi une autre forme pour communiquer des itinéraires aux amis. Sachant qu’une API existe pour ce service, il devient donc plus aisé aux organisateurs de tours de proposer une visualisation des itinéraires.
Jean-Claude MORAND
(C) Jean-Claude MORAND